Cettemesure qui s’inscrit dans le cadre de son “plan de lutte contre les discriminations” sera mise en place à la reprise de la saison de Ligue 2, le 26 juillet et de la Ligue 1, le 9 Par Luc Michel PCN- НОП/ GEOPOLITIQUE ANTI-NATO/ LUC MICHEL LE RETOUR DE L’AMERIQUE LATINE DANS LE FRONT ANTI-YANKEE DU BLOC DE L’EST IV LES ECHECS DES POLITIQUES AMERICAINES TABLE-RONDE INEDITE POUR PARS TODAY DU 13 06 2022 Écoutez sur – Les échecs des politiques américaines Luc Michel, géopoliticien, nous donne plus d’explications. * LUCMICHEL-TV- PCN-TV- PCN-TV YouTube Archives 2009-2016 – Source auteur Notre dossier Amérique latineNotre dossier États-Unis Lescroyances n’ont pas leur place dans les établissements chargés de missions de service publiques déléguées. C’est le principe de la loi de 1905. Vous conviendrez qu’une idéologie qui relève de la croyance n’a pas à s’immiscer dans la politique du Planning familial, association financée en grande partie par des fonds publics.
Le Moutard et le Groupe Sport du Conseil lyonnais pour le respect des droits CLRD lance action pour lutter contre les discriminations dans le sport. Une brochure Sports et discriminations » a notamment pour but de sensibiliser les acteurs du monde sportif. Equilibre, fair-play, respect… mais aussi rejet des moins forts, racisme, sexisme, homophobie, inaccessibilité aux personnes handicapées… ces conduites contradictoires, malheureusement trop présente dans notre société, se retrouvent également dans le monde sportif. Comment expliquer que le sport puisse être le support à la fois de valeurs positives et de discriminations ? Comment ces discriminations se manifestent-elles ? Pourquoi les moqueries et insultes proférées sur les stades et souvent considérées comme sans importance peuvent-elles avoir de graves conséquences ? Même si le sport ne peut pas régler tous les problèmes de la société, comment lutter contre les violences et les discriminations dans le sport ? N’est-elle pas l’affaire de tous ? Permettre de mieux comprendre la réalité des discriminations dans le sport, c’est favoriser l’implication de chacun d’entre nous dans cette lutte. C’est un des objectifs majeurs de cette action de sensibilisation initiée par Le Moutard et le Groupe Sport du Conseil lyonnais pour le respect des droits CLRD. Sans stigmatisation aucune, cette action a pour objet d’aider les acteurs des mondes sportifs, éducatifs et de loisirs à parler de ce sujet, de susciter des initiatives et de développer des temps d’échanges et de rencontres. La parole est souvent le meilleur remède pour dédramatiser ce type de problématique. Une action en plusieurs temps Cette action comprend d’abord la création de la publication Sports et discriminations » Collection en questions Le Moutard dont le tirage initial est de 10 000 exemplaires. Cet outil de sensibilisation, avec le portail ressources documentaires qui l’accompagne sur le site a pour objet de donner de manière synthétique des clefs de compréhension simple historique, charte olympique, la discrimination un délit, clichés et stéréotypes, idées reçues, loi du silence… et des éclairages représentatifs du phénomène Un folklore raciste ; Des horaires réservés ; A chaque sexe ses sports ! ; A victoire égale, récompense égale ! ; Le handisport ; Condamné pour insultes racistes ; Un tabou bien sacré, l’homosexualité ; Les violences sexuelles ?…. Pour garantir l’objectivité des propos, un comité de lecture a réuni les structures suivantes Comité régional olympique et sportif Rhône-Alpes, DRJSCS Rhône-Alpes, L’Autre Cercle, Lesbian et Gay Pride, LICRA, Rectorat de l’Académie de Lyon, Région Rhône-Alpes, Université Lyon 1 / Centre de recherche et d’innovation sur le sport Sensibilisation des acteurs et appel à initiatives Ensuite, l’action a pour objectif de mobiliser des individus et des structures qui souhaitent parler de ce sujet avec leurs publics jeunes, adultes, enseignants, cadres sportifs, éducateurs, parents, supporters…. Il leur suffira de compléter une fiche projet modèle en annexe 3 pour obtenir gracieusement des exemplaires de la publication dans la limite des stocks disponibles. Pour cela, dès début 2011, différents partenaires vont se mobiliser – Le Comité Régional Olympique et Sportif Rhône-Alpes CROS auprès des 8 Comités Départementaux et des 114 Ligues et Comités régionaux – La Conseil régional Rhône-Alpes auprès de l’ensemble des associations d’éducation populaire des huit départements de Rhône-Alpes – L’Université Lyon 1 et plus particulièrement le Centre de recherche et d’innovation sur le sport auprès des réseaux universitaires – La LICRA dans le cadre de ses nombreuses interventions en milieu scolaire Enfin l’action prévoit la création d’un outil ludo-éducatif expo-quiz Sports et discriminations », analyse du temps 2 et perspectives Printemps 2011. Pour obtenir la publication écrire à Le Moutard – BP 1232 – 69203 LYON Cedex 01 Participation aux frais d’envoi 3,00 € par exemplaire A propos Le Conseil lyonnais pour le respect des droits CLRD Il a été créé par délibération du Conseil Municipal de Lyon en 2001. Cette institution unique en France est le fruit d’une volonté collective de dépasser les différentes opinions, de sensibilités et d’origines, autours des valeurs communes de la République. Son objectif est de veiller au respect de la dignité de la personne humaine dans la cité. Sa raison d’être n’est pas seulement d’analyser, mais également de proposer. Le CLRD compte quatre groupes de travail culture, justice, social et sport. Le groupe Sport réuni trois associations L’Autre Cercle, Lesbian et Gay Pride, LICRA Contact Chantal GEIGER – 04 72 00 31 50 – [email protected] Le Moutard Créé en 1988, à l’initiative de Frédéric TOUCHET, Le Moutard développe depuis plus de 20 ans des actions éducatives de sensibilisation à destination des jeunes enfants et adolescents sur la région Rhône-Alpes, en France et dans l’espace francophone. Ses références sont nombreuses – Une centaine de publications sur des thèmes aussi variés que la laïcité, la famille, le patrimoine, la langue, le racisme et les discriminations, le handicap, le développement durable, la francophonie, les mémoires… – Depuis 1999, plus de 150 rencontres Forum des enfants citoyens », lieux réguliers de parole unique en France pour les 8-13 ans – Création début 2010, d’un nouveau concept d’outil d’animation ludo-éducatif intitulé Expo-quiz » ayant pour objet de susciter des temps de débats et d’échanges sur des sujets de société. Deux disponibles Egalité, parlons en ! », L’écho de ma langue » et trois en préparation… – Et de nombreuses missions d’ingénierie éducative Le Conseil lyonnais pour le respect des droits CLRD et Le Moutard ont mené, depuis 2004, déjà deux actions qui font toujours référence au niveau national une sur la sensibilisation au handicap Le petit livre vert du handicap » et l’autre sur la prévention du suicide chez les adolescents Bons plans contre les idées noires ».
Avisrelatif au racisme et aux discriminations dans le sport. Aller au contenu; Aller au menu; Aller au menu; Aller à la recherche; Menu Informations de mises à jour; Gestion des cookies; Nous contacter; Activer l’aide sur la page. Droit national en vigueur. Constitution. Constitution du 4 octobre 1958
Sport Société Football, mais aussi handball, basket, rugby… Le sport professionnel n’est pas la seule victime des faits et agressions racistes, chez les amateurs aussi, ils font rage. Football et racisme, une histoire trop banale. Pas un week-end ou presque sans que soient révélés des agressions ou des faits à caractère raciste dans des stades en Europe. Mais le ballon rond n’est pas le seul sport touché. D’autres comptent également leur lot d’incidents. L’écho s’en trouve seulement étouffé par la caisse de résonance d’un football surmédiatisé. Prenez le handball. Le 21 septembre, le FC Barcelone accueille Celje en match de poules de Ligue des champions. Fin de la première période, l’international français Dika Mem, qui évolue dans le club catalan, est la cible de cris de singe de la part de supporteurs slovènes. Malaise dans les tribunes du Palau Blaugrana, les Catalans conspuent leurs adversaires. Dans les rues et sur les réseaux sociaux Il y a des gens comme ça partout, ce soir, c’est arrivé et pour moi il faut sanctionner cela », a déclaré après le match l’arrière de 22 ans, qui a préféré minimiser l’incident, ajoutant avoir reçu des excuses des dirigeants et des joueurs de Celje. Toujours en handball, en juin, la célébration du sacre en Ligue des champions du Vardar Skopje Macédoine du Nord contre les Hongrois de Veszprem a été marquée par des insultes racistes anti-albanaises proférées, dans les rues de Skopje et sur les réseaux sociaux, par des supporteurs ultranationalistes de la formation macédonienne. Lire aussi Article réservé à nos abonnés Racisme dans le football face aux cris de singe et aux insultes, la prise de conscience des joueurs Autre exemple, le basket. Mardi 5 novembre, un spectateur s’en prend verbalement à deux des trois arbitres d’un match de Coupe de France après la défaite de son club, la Chorale de Roanne, contre celui de Boulazac. Les hommes en noir ont déposé plainte pour propos racistes » à l’issue de la rencontre, et la Fédération française de basket a aussitôt condamné fermement » les agissements du supporteur coupable. Une plainte a fort justement été déposée immédiatement après la rencontre par les arbitres. La FFBB apporte son sou… ffbasketball FFBB Quelques mois plus tôt, l’international français Edwin Jackson, qui évolue dans le club monténégrin Buducnost Podgorica, racontait sur le réseau social Instagram avoir été victime de cris de singe de la part de supporteurs de l’Etoile rouge de Belgrade lors d’une rencontre de Ligue adriatique. Le club serbe a été condamné quelques jours plus tard à disputer deux matchs à huis clos dans sa salle. En rugby, comment ne pas évoquer le cas d’Eben Etzebeth, titré avec l’Afrique du Sud, le 2 novembre, lors de la Coupe du monde au Japon ? Le deuxième ligne sud-africain est visé par la justice de son pays pour des insultes racistes proférées, en août, contre quatre personnes, juste avant son départ pour la compétition. De quoi ternir le sacre arc-en-ciel d’une équipe métissée sur lequel titrait volontiers la presse du monde entier. Gangrenés Tennis, athlétisme, volley-ball… On pourrait multiplier les exemples de sports gangrenés par le racisme. Aucun stade, terrain ou gymnase ne semble épargné. Pas plus que ne l’est le monde amateur. Loin des projecteurs du sport business, l’expression du racisme y est plus décomplexée, plus affirmée, sur et autour des terrains, parmi des spectateurs qui n’hésitent plus à agresser arbitres et joueurs. Le match du week-end est souvent le seul lieu de rencontre – et parfois d’affrontement – de personnes d’origines sociales différentes », observe Oren Gostiaux, le président de la commission sport et jeunesse à la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme Licra, qui note par ailleurs un accroissement des communautarismes dès l’échelon départemental. On assiste jusqu’à la caricature, explique-t-il, au match entre ruraux et banlieusards, des populations qui ne se fréquentent plus. Alors, parfois, les choses deviennent explosives. Et les fédérations ont du mal à gérer ce type d’incidents. » Sans parler des arbitres, parfois très jeunes, exposés en première ligne et souvent bien seuls pour y faire face. Note-t-on pour autant une augmentation des faits et agressions racistes ? Difficile de le quantifier, selon les observateurs du sport, les incidents n’étant pas systématiquement rapportés. Seuls paraissent relativement préservés les sports où la mixité, la popularité, les enjeux financiers sont moindres Le racisme dans le sport a toujours existé », énonce en préalable l’historien Claude Boli, selon qui la nouveauté ces dernières années tient au fait que les victimes désormais osent témoigner, que des figures importantes du sport osent en parler ». Le racisme serait donc rendu plus visible, une visibilité accentuée par la place croissante du sport dans nos sociétés plus de disciplines, plus de pratiquants entraînent mécaniquement davantage d’incidents racistes. Seuls paraissent relativement préservés les sports où la mixité, la popularité, les enjeux financiers sont moindres. Claude Boli remarque également la persistance de stéréotypes, comme celui attribuant aux Noirs des prédispositions physiques pour la course à pied. Les sports majeurs ne peuvent pas éviter les poncifs sur la racialisation du sport, avance l’historien. Avant Tiger Woods, personne ne pensait qu’un Noir pouvait être champion de golf. » Pour combattre le racisme dans le sport, tous en sont convaincus un travail de fond est nécessaire. Cela passe notamment par davantage de dialogue avec les sportifs – et ce, dès le plus jeune âge – et par la formation des éducateurs, dans les clubs, à la gestion des conflits et aux problématiques interculturelles », plaide Oren Gostiaux. Les seules réponses disciplinaires et judiciaires ne suffisent pas. Nicolas Lepeltier Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. 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Cettecampagne canadienne et sportive contre le racisme fait le buzz ! Actualités Branding Film Social media par Fouad Bencheman 17 janvier 2022. En association avec la marque de bière Budweiser, la Hockey Diversity Alliance, qui a pour but de lutter contre le racisme systémique dans ce sport ; vient de lancer au Canada sa campagne #TapeOutHate.
Activité Projet porté défendre légalement les intérêts culturels, spirituels et matériels des Chrétiens à l'intérieur et à l'extérieur du territoire national Ce projet s'inscrit de manière plus générale dans le thème lutte contre les discriminations - Les associations de ce domaine dans le département Commune Orthez 64300 Historique Les évènements marquants de l'association 22/09/2011 - Création de l'association 22/10/2011 - Publication JO de l'avis de création de l'association 11/04/2012 - Dernière déclaration en date de l'association 19/04/2012 - Dernière mise à jour de l'association Administration Identifiants Numéro RNA L'identifiant dans le Répertoire National des Associations RNA W643005266 Le numéro RNA identifie l'association dans le répertoire waldec et dans le Répertoire National des Associations RNA, ce répertoire recense les associations en remplacement du waldec depuis 2010 et ce numéro permet d'effectuer les différentes démarches administratives de l'association. Forme Code du site gestionnaire de l'association Préfecture ou Sous-préfecture 643P Nature de l'association Simplement Declarée D Groupement Simple, Union, Fédération Simple S Observation du waldec Aucune Position Active, Dissoute, Supprimée Active A Publication sur le web Non 0 Site web déclaré au waldec Aucun

Quelleque soit la raison du racisme, les victimes ont le droit d’engager une procédure judiciaire. La plainte peut être effectuée de manière individuelle ou en groupe. Il est recommandé de faire

Nike, adidas, Reebok, Puma, Columbia, Arc’Teryx, Patagonia, The North Face et de nombreuses autres marques se mobilisent pour apporter leur soutien. La mort de l'Américain George Floyd, causée par une violente interpellation par la police à Minneapolis et les fortes tensions dans les rues américaines qui sévissent depuis, a amené de nombreuses marques de sport à s'unir dans ce contexte sensible. Alors que Nike diffusait dès vendredi une vidéo sans visuel portant seulement ce message sur un fond noir N’ignorez pas le racisme. N’acceptez pas que des vies innocentes soient prises. Ne trouvez pas d’excuses. Ne faites pas comme si cela ne vous concernait pas », les messages se sont multipliés. La première à emboîter le pas à la marque au swoosh fut adidas, qui n'a pas hésité à retweeter le post de son plus grand concurrent. Autre Européen à s'être engagé, Puma, qui en appelle aux dons sur les réseaux sociaux en faveur de l'Association Minnesota Freedom, association basée dans la ville où vivait George Floyd. Mais ce sont surtout les marques nord-américaines qui ont suivi le sillon creusé par Nike avec des messages forts publiés par Arc'Teryx, Columbia, The North Face, Patagonia qui annoncent toute une série d'engagements pour, non plus être seulement conscients du racisme et de l’injustice sociale, mais agir pour y remédier. L’activisme non violent fait avancer les choses. Nous avons du travail à faire », estime la marque éco-responsable. Le groupe Columbia s'est exprimé à travers les mots de son PDG, Tim Boyle Nous sommes solidaires de toutes les victimes de racisme et de tous ceux qui dénoncent et combattent l’injustice raciale ».
\n\n \n\n \n association contre le racisme dans le sport
Laministre des Sports française Laura Flessel a annoncé mardi qu'elle souhaitait travailler au niveau européen pour que les règlements sportifs prennent davantage en compte la lutte contre

Un haut responsable de la Commission européenne a souligné l'importance croissante du sport et du football dans la lutte contre le racisme et la les plus jeunesDans une allocution prononcée lors d'une conférence organisée à Bratislava par le réseau FARE - Football Against Racism in Europe -, le commissaire européen chargé de l'éducation, de la culture et du multilinguisme Ján Figel a déclaré qu'il était vital d'encourager les actions au niveau des plus jeunes dans le cadre de la étroiteM. Figel a ajouté que l'Union européenne continuerait d'apporter son soutien à FARE - l'un des principaux partenaires caritatifs de l'UEFA - et que "des actions encore plus ciblées" allaient être entreprises "pour atteindre l'objectif que nous nous sommes fixés. Le travail en réseau est un élément clé de cette mission, et j'aimerais nous voir travailler plus étroitement ensemble".Capacité éducative du sport"Le sport est un important moyen de promotion du dialogue interculturel et de la lutte contre la discrimination. Le racisme et la discrimination sont en totale opposition avec les valeurs fondamentales du sport. Nous devrions tirer partie de la capacité éducative du sport et de son impact social en vedette"C'est en suivant les mêmes principes que l'UE a décidé de faire de 2004 l'Année européenne de l'éducation par le sport", a précisé M. Figel. "L'AEES 2004 a permis à l'UE de promouvoir des valeurs comme la tolérance, le fair-play, le respect des règles et de l'adversaire et le travail d'équipe dans 28 pays. J'applaudis FARE d'avoir organisé cette conférence, et j'apporte mon entier soutien aux messages clés que promeut ce réseau."Messages clés"La valeur éducative du sport et son utilisation - et avant tout celle du football - pour combattre le racisme et la discrimination. Ces objectifs sont également soulignés dans l'Article III-282 du projet de Traité constitutionnel, où le sport est mentionné pour la première fois au niveau communautaire. Je ne doute pas qu'à l'avenir, avec cette nouvelle base légale, nous pourrons collaborer de façon plus étroite que jamais pour exclure définitivement des terrains le racisme et la xénophobie."Sanctions et actionsLors des divers ateliers organisés, les délégués ont formulé un certain nombre de propositions et de recommandations pour le réseau FARE. Les délégués ont fait valoir que, selon eux, l'ampleur des sanctions et des actions des différentes autorités du football devait être mieux proportionnée au problème, car une action inadaptée nuirait au travail de efforts de la SlovaquiePrenant la parole au nom de l'Association slovaque de football, la fédération nationale organisatrice, le secrétaire général Dušan Tittel a déclaré que sa fédération avait mis en place une série de mesures contre le racisme depuis le match Slovaquie - Angleterre en 2003. Lors de cette rencontre internationale, Emile Heskey et Ashley Cole avaient été visés par des slogans joueurs dans les écolesEntre autres actions, la fédération slovaque a envoyé des internationaux dans les écoles pour parler de la tolérance dans la société slovaque, a expliqué Tittel.

Dansle cadre de son plan de lutte contre les discriminations, la Ligue de Football Professionnel, en partenariat avec la Licra, a lancé une campagne pour promouvoir la plateforme de signalement contre le racisme et l’antisémitisme dans les stades à l’occasion de la 29ème journée de Ligue 1 Uber Eats et de la 30ème journée de Ligue 2
1Parce qu’elle s’accompagne d’incessantes opérations de catégorisation et de hiérarchisation, favorisant au passage les sentiments chauvins, la compétition sportive apparaît comme un vecteur privilégié des discriminations. Il n’est qu’à songer aux nombreuses manifestations xénophobes, racistes, sexistes ou homophobes qui se donnent à voir sur les terrains comme à leurs abords, et ce à tous les niveaux. Pour autant, en rester à ce banal constat revient en fait à commettre la même faute que celle imputée au sport l’essentialiser. Il importe, de ce fait, de se demander d’abord jusqu’à quel point le sport est directement producteur de ces discriminations et s’il ne serait pas, avant tout, le révélateur de tensions qui traversent plus largement notre société au point d’avoir apparemment supplanté une lecture en termes de classes sociales dans l’esprit de nos concitoyen-ne-s Castel, 2007 ; Safi, 2009 ; Fassin, 2010. Ensuite, il s’agit de déterminer si la racine de ces discriminations se situe dans les consciences individuelles ou dans les structures sociales, notamment celles qui organisent la pratique et le spectacle sportifs. Enfin, il importe de se demander à quelles conditions on peut, inversement, faire du sport un levier préventif contre certains stéréotypes et les violences qu’ils entraînent, au-delà de ce seul domaine. 2Ces interrogations sous-tendent les projets qui sont mis en œuvre sur le terrain de la lutte contre les discriminations dans le sport. Ces actions sont menées par une configuration hétéroclite d’acteurs peu habitués à travailler en commun, à savoir les fédérations sportives, les collectivités territoriales et les associations investies de longue date pour l’égalité et le respect des droits humains. En dépit du consensus désormais affiché concernant la nécessité de lutter contre les discriminations, cette coopération est encore loin d’aller de soi, faute notamment d’un accord clair sur leurs causes et, partant, sur le contenu des actions à mener. Par ailleurs, des enjeux de concurrence et d’image s’insinuent dans le processus, qui viennent également en contrarier la réalisation. Faute de pouvoir prétendre épuiser la diversité des intervenants et des actions mises en œuvre dans ce champ particulier, la focale sera ici portée sur l’investissement comparé du terrain sportif de deux associations nationales de lutte pour l’égalité des droits la Ligue des droits de l’Homme LDH et la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme Licra.Un investissement tardif et localement inégal3Fondées respectivement en 1898 et 1927, la LDH et la Licra ne se sont emparées que tardivement de la question du sport. C’est en 1998, en pleine célébration de la victoire de l’équipe de France de football Black-Blanc-Beur » à la Coupe du monde, que l’idée d’une commission spécifique dédiée au sport émerge à la Licra. Elle est principalement portée par une nouvelle élue au Bureau national exécutif, Carine Bloch, par ailleurs salariée au service des sports de la communauté urbaine de Strasbourg. À cette époque, la permanence juridique de la Licra reçoit près d’une centaine d’appels par an signalant des actes racistes dans le sport. Carine Bloch devra cependant patienter encore trois ans pour voir la mise en place d’une commission sportive nationale, dont elle assurera la présidence jusqu’en 2012. Bien que la commission soit ouverte à tous les présidents de la cinquantaine de sections locales et au référent sport que chacune de celles-ci est invitée à nommer, en pratique les réunions trimestrielles ne rassemblent qu’une quinzaine de participants. Au quotidien, l’un-e des sept permanent-e-s de l’association est chargé-e de traiter les affaires courantes sur une partie de son temps de travail. L’investissement des sections locales sur le thème des discriminations est donc extrêmement variable. Si certaines s’en désintéressent totalement, d’autres se reconfigurent largement autour de ce dernier, telle la section Rhône-Alpes de la Licra, qui a recruté en 2007 un salarié exclusivement consacré au sport. 4La création d’un groupe de travail intitulé Sport, droits et libertés » à la LDH a, pour sa part, suivi un processus quelque peu différent. Si elle a été officiellement décidée en 2011, lors du congrès national de l’association à Reims, elle est en réalité l’aboutissement d’une action initiée un an plus tôt contre la Fédération française de football FFF ; cette action fut menée à la suite de la décision de la FFF, fin 2009, d’exiger une attestation de présence sur le sol français depuis au moins cinq ans des mineurs étrangers pour leur délivrer une licence, en invoquant un nouveau règlement de la Fifa destiné à lutter contre le trafic de joueurs, africains notamment. La LDH nationale va dénoncer le caractère discriminatoire et inadapté de la mesure sous l’impulsion d’un membre de la section du 18e arrondissement de Paris de la LDH, également président de club ; cette section fournira ensuite les piliers du futur groupe de travail national, dont son animateur jusqu’à aujourd’hui, Pascal Nicolle, lui-même ancien journaliste sportif. Dans un cas comme dans l’autre, la première difficulté semble ainsi de mobiliser sur la question sportive les militants de l’association, que leur recrutement sociologique prédispose rarement à s’intéresser à cette actions diversifiées, entre analyse et prévention5S’agissant des actions qu’elles mettent en œuvre, les deux associations présentent également certaines similitudes en même temps que des divergences fortes, qui témoignent d’un cadrage différent du phénomène. Dans chacune d’elles on retrouve sans surprise l’élément central du répertoire d’actions collectives Tilly, 1986 l’arme du droit Israël, 2009 ; Agrikoliansky, 2003. Outre les appels individuels déjà évoqués, dont les émetteurs préfèrent d’ailleurs, significativement, conserver l’anonymat par crainte de représailles, il arrive que les clubs ou instances fédérales sollicitent eux-mêmes la Licra, suite à un événement » survenu en leur sein et ayant reçu un certain écho médiatique. Surtout, les deux associations accompagnent juridiquement les victimes d’actes discriminatoires, individus ou institutions, allant souvent jusqu’à se porter partie civile en cas de procès. 6À côté de ce volet plus réactif, les associations sont directement à l’initiative d’autres actions qui peuvent être schématiquement classées en deux catégories l’analyse et la sensibilisation. Si la première s’incarne pour l’instant à la LDH essentiellement dans un travail de » [1] sur Internet, les membres du groupe ont aussi lancé une enquête auprès des fédérations sportives sur leurs règles et leurs garde-fous ». La Licra réalise pour sa part, chaque année depuis 2005, une enquête auprès d’un échantillon d’environ 600 municipalités. Les élus sont invités à recenser les faits de racisme, de communautarisme ou d’ enrôlements extrémistes » autour du sport dans leur commune. En pratique, à peine plus d’un tiers d’élus y répond, ce que la permanente en charge de l’enquête impute en partie au fait que beaucoup de maires et de clubs ne veulent pas dire qu’ils rencontrent des problèmes de racisme ». L’association a également lancé, fin 2013, une application pour téléphones mobiles permettant de signaler les agressions ou tags discriminatoires. 7En aval, les responsables des deux organisations sont également sollicités pour intervenir lors de colloques, conférences ou séminaires – quand ils n’en organisent pas eux-mêmes –, ce qui vient légitimer leur expertise » Delmas, 2011 en la matière et appuyer en retour les actions de prévention, lesquelles constituent l’essentiel de leur activité. Celles-ci peuvent prendre différentes formes conception et diffusion de documents de sensibilisation tracts, livrets, films, etc., formations des apprentis footballeurs, arbitres ou stadiers, ou encore organisation directe d’événements sportifs – tournois de football, cross, galas de boxe ou cross – autour desquels sont évidemment diffusés des messages de sensibilisation. Enfin, depuis 2009, une équipe de football multiculturelle » évoluant dans un championnat interentreprises du Rhône porte les couleurs de la Licra. Force est cependant de constater que l’essentiel des actions reste concentré sur le seul football, ce qui tient, de l’aveu même des responsables associatifs, à la visibilité particulière dont jouit ce sport dans l’espace partenariats souvent difficiles8Le rôle et la place des associations de lutte contre les discriminations dans le monde sportif restent ainsi largement à définir et à consolider parmi les organisations qui structurent déjà celui-ci Gasparini, 2000. C’est dans ce domaine que la Licra et la LDH divergent sans doute le plus, du fait d’un diagnostic différent sur l’origine des discriminations. La Licra multiplie ainsi les partenariats institutionnels tant en France qu’à l’étranger [2] ; elle a signé des conventions avec le ministère de la Jeunesse et des Sports, plusieurs fédérations sportives football, judo, etc., la Ligue de football professionnel LFP, l’Union des clubs professionnels de football UCPF, des clubs de toutes divisions, des collectivités territoriales et des associations impliquées dans l’éducation par le sport ; elle constitue, enfin, la seule association non sportive à être invitée par certains districts à siéger dans les commissions de discipline de la FFF lorsque celles-ci statuent sur des actes racistes ou antisémites. Quant à la LDH, qui considère que les structures du mouvement sportif, notamment fédérales, ont eu une responsabilité majeure dans l’occurrence des discriminations, elle entretient des relations beaucoup moins amicales avec celles-là. Outre l’affaire des licences de football, l’association a par exemple accompagné des supporters du PSG interdits de stade dans leur recours auprès de la Commission nationale informatique et libertés Cnil contre leur fichage illégal, retournant au passage le stigmate porté par ces derniers en matière de discrimination Hourcade, 2000. Les partenaires de la LDH se limitent ainsi pour l’essentiel à l’Union sportive de l’enseignement de premier degré Usep, avec laquelle elle organise diverses actions éducatives, comme la journée annuelle Graines de Citoyens » à Paris depuis 2009 ou des tournois de football équitable » [3]. 9L’existence d’un partenariat n’implique pas toutefois une relation apaisée entre les parties concernées. La Licra doit ainsi régulièrement faire face à la volonté de certains interlocuteurs institutionnels de minimiser les problèmes, sinon de les nier. Un responsable de l’association explique Tous les problèmes en “isme’’ [racisme, sexisme, antisémitisme…] sont des problématiques que les clubs préfèrent jeter aux oubliettes …. On préfère parler des choses qui fédèrent, qui peuvent faire rêver et non de celles qui dérangent et peuvent diviser », tout en notant la prédominance d’hommes blancs », âgés et politiquement conservateurs » à la tête des instances fédérales. Si les autorités sportives en appellent à l’association pour venir éteindre le feu » quand il est déclenché, c’est-à-dire quand les incidents se multiplient ou sont largement médiatisés, elles semblent cependant surtout désireuses d’éviter la mauvaise publicité qu’ils pourraient attirer sur leur discipline, en dépolitisant le phénomène pour le réduire à des actes isolés à régler par la prévention ou devant les tribunaux, sans remettre en cause l’organisation de leur sport. 10Ces deux exemples montrent que la lutte contre les discriminations dans le sport est loin de constituer un objectif unanime et clairement identifié. Les actions prioritaires, de même que le rôle respectif des divers agents concernés, sont en particulier loin d’aller de soi, en raison notamment de diagnostics divergents sur les phénomènes concernés, ainsi que d’une forte réluctance à politiser la question. Cela rappelle en somme, comme l’a notamment montré Joseph Gusfield 2009, qu’un problème public ne s’impose pas de lui-même mais qu’il est le fruit de multiples mobilisations pour tenter d’en imposer une certaine lecture, celle de ses causes ainsi que des réponses à y apporter. En conclusion, le traitement du racisme dans et par le sport apparaît comme un sujet qui reste encore largement à définir. Notes [1] Les expressions entre guillemets, comme d’autres éléments de cette présentation, sont issus d’entretiens avec des responsables des deux associations concernées investis sur les questions sportives. [2] Elle appartient ainsi depuis 2007 au réseau d’ONG européennes Fare Football Against Racism in Europe qui organise notamment chaque année en octobre une semaine d’actions de sensibilisation. [3] Qui consiste à subvertir certaines règles fédérales des disciplines pour les rendre plus éducatives », par exemple en changeant les joueurs d’équipe au fil de la rencontre afin qu’elle reste équilibrée. Bibliographie En ligneAgrikoliansky E., 2003, Usages choisis du droit le service juridique de la Ligue des droits de l’Homme 1970-1990 », Sociétés contemporaines, n° 52, p. R., 2007, La discrimination négative, Paris, Seuil, coll. La République des idées ».Delmas C., 2011, Sociologie politique de l’expertise, Paris, La Découverte, coll. Repères ».Fassin D. dir., 2010, Les nouvelles frontières de la société française, Paris, La Découverte, coll. Bibliothèque de l’Iris ».Gasparini W., 2000, Sociologie de l’organisation sportive, Paris, La Découverte, coll. Repères ».Gusfield, 2009 [1982], La culture des problèmes publics, Paris, ligneHourcade N., 2000, L’engagement politique des supporters ultras’’ français. Retour sur des idées reçues », Politix, n° 50, p. 107-125. Israël L., 2009, L’arme du droit, Paris, Presses de Sciences Po, coll. Contester ».En lignePoinsot M. et Bloch C., 2010, Des terrains aux tribunes sortir le racisme », Hommes & Migrations, n° 1285, p. M., 2009, Les discriminations ethno-raciales, Paris, La Découverte, coll. Repères ».Tilly C., 986, La France conteste. De 1660 à nos jours, Paris, Fayard.

Aujourdhui, de nombreux pays européens soutiennent les campagnes contre le racisme dans le football. De nombreux clubs professionnels de football, associations nationales et de

against discrimination" and"Media against racism in sport" campaigns.">on behalf of the Special Adviser to the Secretary-General on Sport for Development and Peace made a presentation on the role of sport in combating racism racial discrimination xenophobia and related racism" a partnership between UNESCO and FC Barcelona signed in 2007 also allows young people to">Thematic discussion on the role of sport in combating racism racial discrimination xenophobia and related Football AssociationFIFA to emphasize the role of sport in addressing racism and violence in the 2006 FIFA World society actors interested in combating racism in sport can serve as best practices that can be shared. Results 76, Time Spanish -en la lucha contra el racismo en el deporte
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À l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination de la discrimination raciale, célébrée chaque 21 mars, la Division Sport du Conseil de l’Europe rappelle le pouvoir fédérateur du sport qui permet de rassembler les individus. Malheureusement, il peut parfois aussi être le théâtre d'une exacerbation des rivalités ou de discriminations à l'encontre de certaines catégories de la population, au mépris des normes, obligations et principes internationaux en matière de lutte contre le racisme et la discrimination. En dépit de progrès réalisés au fils des années par les Etats, organisations sportives et associations à différents niveaux, le racisme reste une menace dans le monde du sport et constitue une grave violation des droits humains. Face à ce constat, les priorités 2022-2025 pour le Sport du Conseil de l’Europe visent notamment à inscrire la protection des droits humains dans le sport à l’ordre du jour des gouvernements et à réaliser des avancées majeures dans la promotion d’un sport fondé sur des valeurs. Les valeurs positives du sport sont inscrites dans la Charte européenne du Sport récemment révisée. Un autre instrument permet de lutter contre les incidents de racisme qui entachent le monde du sport la Convention de Saint-Denis qui établit des principes et des normes pour lutter contre le racisme, les discours et les crimes haineux dans et autour des manifestations sportives et promeut l’inclusion de tous les spectateurs. En outre, la Division Sport met en œuvre un projet Lutter contre les discours de haine dans le sport » dont le but est d’apporter une assistance technique aux autorités publiques des pays concernés et aux acteurs du sport pour développer des stratégies cohérentes de lutte contre la haine dans le sport, dans le respect des droits humains. Les autorités publiques ont un rôle central à jouer pour lutter contre le racisme dans le sport et condamner les discours de haine mais nous ne devons également pas négliger le rôle de chacun individuellement, nous devons apprendre ensemble à nous opposer et combattre toutes les formes de discrimination », a déclaré Sophie Kwasny, chef de la Division Sport.

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