Voletset portes sont toujours clos au cabinet situé en face de la mairie, alors que les rumeurs de liquidation judiciaire vont bon train. Volets et portes sont toujours clos au cabinet situé en face de la mairie, alors que les rumeurs de liquidation judiciaire vont bon train. Hauts-de-France. Aisne. Arrageois. Avesnois. Cambrésis. Douaisis. Fourmies. Sambre. Valenciennois.
Le possible retard de livraison en VEFA est l’un des grands enjeux du mécanisme dans le cadre d’un achat d’un bien en état futur d’achèvement VEFA, le contrat de vente mentionne la date à laquelle la construction sera achevée et le bien en état d’être remis à son acquéreur, c’est à dire la date à laquelle le bien lui sera livré. Malheureusement, de nombreux particuliers subissent des retards de livraison en VEFA pouvant aller de quelques semaines à plusieurs années. Face à une telle situation, vous aurez la possibilité de vous défendre, de demander, par exemple, des pénalités de retard ou des dommages et intérêts au promoteur, via votre avocat spécialiste en VEFA, en indemnisation des préjudices subis du fait du retard de livraison du bien en VEFA. Vous avez acheté en bien en VEFA et vous subissez un retard de livraison, vous vous demandez quoi faire et quelle attitude adopter face à cette situation ? Notre guide vous explique tout sur l’achat immobilier en VEFA. Sommaire1 Retard de livraison de la VEFA à partir de quand est-ce un retard ? Les causes légitimes de retard2 Retard de livraison de la VEFA quels sont les droits de l’acquéreur ? Les pénalités en cas de retard de livraison de la L’indemnisation des préjudices3 Les actions à mener en cas de retard de livraison en La mise en La saisine du juge4 Retard de livraison de la VEFA et inachèvement Retard de livraison de la VEFA à partir de quand est-ce un retard ? L’examen des clauses contractuelles est indispensable pour apprécier l’existence ou non d’un retard de livraison en VEFA. Concrètement, l’acte de vente en état futur d’achèvement prévoit, par exemple, la livraison au plus tard le 30 septembre 2020 » ou à la fin du troisième trimestre 2020 » ou encore dans les 18 mois qui suivent la date de signature, d’ouverture du chantier, etc., l’important étant que la date soit déterminable. On peut considérer qu’il existe un retard de livraison de la VEFA lorsque l’acquéreur n’a pu prendre possession du bien à la date convenue ou dans le délai indiqué. A moins que le promoteur ne puisse se prévaloir d’une cause légitime de retard. Les causes légitimes de retard Généralement, le contrat stipule une clause de report de délai de livraison » ou de suspension du délai » couvrant les risques de retard de livraison de VEFA. Cette clause précise quelles sont les événements, les situations qui autorisent le promoteur à reporter la date de livraison. Il s’agit, par exemple Des intempéries,Du retard dans la livraison des matériaux,Des grèves,Du redressement judiciaire ou de la liquidation d’une entreprise intervenant sur le chantier,Des demandes de modification des prestations par l’acquéreur, etc. Si l’une de ces causes survient, le promoteur doit prouver la survenance de l’événement et son impact sur l’allongement de la durée du chantier. Par exemple, si le chantier a connu 30 jours d’intempéries, le promoteur pourra livrer le bien 30 jours après la date initialement prévue sans encourir de sanction. Retard de livraison de la VEFA quels sont les droits de l’acquéreur ? Les pénalités en cas de retard de livraison de la VEFA En matière d’achat en VEFA, aucun texte n’impose au promoteur de verser des pénalités de retard à l’acquéreur en cas de retard de livraison de la VEFA. L’acquéreur doit donc impérativement exiger que de telles pénalités soient mentionnées expressément dans l’acte de vente en état futur d’achèvement. Ce d’autant, qu’en général, l’acte prévoit que l’acquéreur devra des pénalités de retard au promoteur s’il s’acquitte avec retard des appels de fonds. L’acte de vente en VEFA peut, par exemple, prévoir une pénalité de 1/ du prix de vente par jour de retard. Ainsi, pour un bien acheté €, le promoteur devra verser à l’acquéreur une indemnité de 100 € par jour de retard. En tout état de cause, même si l’acte de vente ne prévoit pas de tels pénalités, l’acquéreur pourra demander à être indemnisé des conséquences pour lui du retard de livraison de la VEFA. L’indemnisation des préjudices Lorsque le défaut de livraison du bien dans le délai convenu cause des préjudices à l’acheteur, tel que des frais d’hébergement, de garde meubles, etc., il peut en être indemnisé par le promoteur. Pour obtenir ces dommages-intérêts, il faudra fournir des pièces justificatives des dépenses engagées factures, relevés de compte bancaire, etc. Les actions à mener en cas de retard de livraison en VEFA La mise en demeure Lorsque la date de livraison du bien immobilier neuf acheté en VEFA est effectivement dépassée, il convient d’adresser une lettre de mise en demeure au promoteur. Aux termes de cette lettre, il faut préciser votre intention de mettre en demeure le vendeur de vous livrer le bien objet de la VEFA en lui donnant un délai précis pour s’exécuter. Vous pouvez également le mettre en demeure de vous verser le montant des pénalités de retard, éventuellement prévues à l’acte de vente. Cette mise en demeure doit être adressée par lettre recommandée avec demande d’avis de réception. Au préalable, ou en parallèle, vous pourrez également envisager de faire constater le retard de livraison de la VEFA par un huissier de justice. Si le promoteur ne s’exécute pas, vous devrez envisager d’engager une action judiciaire contre lui pour obtenir sa condamnation à livrer le bien, à vous verser les pénalités de retard dues, le cas échéant, et à vous indemniser des préjudices que vous subissez du fait du retard de livraison de la VEFA. La saisine du juge Une fois saisi, le juge peut décider du montant de l’indemnité due par le promoteur lorsqu’il livre un appartement avec du retard ou lorsqu’il livre un appartement qui n’est pas conforme. Ainsi, lorsque le retard de livraison en VEFA entraîne des conséquences financières pour l’acheteur intérêts du prêt bancaire, frais de logement, perte d’un avantage fiscal, etc., le juge pourra condamner le promoteur au versement de dommages et intérêts en sus des pénalités de retard. Enfin, dans certains cas, le retard est tellement important qu’il justifiera l’annulation de la vente, il s’agira alors d’une résolution judiciaire ». Car en effet, la vente en l’état futur d’achèvement est, comme toutes les ventes, un contrat et si l’une des parties se soustrait à une obligation essentielle du contrat, l’autre partie peut solliciter du juge qu’il annule le contrat. C’est le cas du promoteur qui doit impérativement respecter le délai de livraison. De la même manière que le promoteur doit livrer le bien acquis en VEFA dans le délai prévu au contrat de vente, ce dernier doit livrer un bien conforme à la description du contrat de vente et à la notice descriptive, à défaut, il pourra être condamné au titre des malfaçons en construction. Retard de livraison de la VEFA et inachèvement Il arrive parfois que le retard de livraison du bien masque en réalité l’incapacité du promoteur à achever l’ouvrage. Parfois même, le promoteur a mis la clé sous la porte » en cours de chantier. Ce risque, substantiel, pour l’acquéreur qui aura déjà payé une partie du prix d’achat, est, dans les faits, bien réel. C’est la raison pour laquelle le législateur a instauré les garanties financières d’achèvement et de remboursement. Un établissement bancaire ou une société d’assurance s’engage alors, en cas de défaillance du constructeur, à faire l’avance des sommes nécessaires à l’achèvement des travaux ou à rembourser aux acquéreurs les sommes versées. Il est en outre possible pour l’acquéreur qui subit cette situation de demander en justice la suspension de son prêt le temps de l’achèvement. Le risque de retard de livraison du bien immobilier par le promoteur est un des désavantages de la VEFA. C’est pourquoi certains acheteurs préfèrent l’achat immobilier neuf à la VEFA. Toutefois, ce risque juridique peut être réduit si vous êtes bien accompagné ! Article rédigé par Maître Laura MOINIER
Questionà un avocat : Maître Besma Maghrebi Mansouri du cabinet BMM.Retrouvez toutes les vidéos de Maître Besma Maghrebi Mansouri sur : https://www.youtube.
CONDITONS DE VENTEDESCRIPTION DES LOTSLes lots sont décrits par NOUVELLE ETUDE ou par un expert reconnu dans sa spécialité. Les acquéreurs sont invités à examiner les lots avant la vente, sur photos ou lors de l’exposition. Les lots sont décrits au catalogue ou au procès-verbal de la vente tels qu’ils se trouvent au moment du passage en vente. Nous signalons cependant aux acquéreurs que l’absence de réserve au descriptif d’un lot ne signifie pas que celui-ci soit en parfait état, exempt d’accidents, d’usures, de rayures d’usage, de restauration ou de matériels professionnels, informatiques, ou d’équipement judiciaires ou volontaires, sont vendus en l'état. Ils ne sont pas testés au préalable. Aucune réclamation ne sera acceptée après la DE LA VENTELa vente aux enchères est publique. Les acquéreurs portent leurs enchères par les moyens de leur choix en présentiel, par téléphone, par ordre d'achat ou en live sur internet. NOUVELLE ETUDE suit l’ordre du catalogue mais se réserve le droit de le changer, de réunir ou diviser les ventes aux enchères LIVE ONLY sont effectuées via le site Internet et/ou qui constituent une plateforme technique permettant de participer à distance par voie électronique aux ventes aux enchères publiques. L’utilisateur souhaitant participer à une vente aux enchères en ligne via la plateforme de son choix doit prendre connaissance et accepter, sans réserve, les conditions d’utilisation de cette plateforme, qui sont indépendantes et s’ajoutent par conséquent aux présentes conditions générales de vente. NOUVELLE ETUDE se réserve le droit de refuser l’inscription ou la participation d’un client dans l’hypothèse où ce dernier serait inscrit au fichier TEMIS voir infra.ORDRES D’ACHAT ET ENCHERES TELEPHONIQUESNOUVELLE ETUDE invite les utilisateurs des plateformes à déposer leur ordre d’achat via les formulaires des sites internet ou Aucun autre procédé n’est accepté. NOUVELLE ETUDE se réserve le droit d’accepter exceptionnellement des enchères téléphoniques pour les demandes adressées au moins 48 h avant la A LA CHARGE DES ACQUEREURSLes acquéreurs paieront en sus des enchères des frais de 11,9% HT soit 14,28 % TTC Frais additionnels - 3 % HT soit 3,6 % TTC au titre des frais Interencheres Live- 1,5 % HT soit 1,8% TTC au titre des frais Drouot LiveLes frais Interencheres Live ou Drouot Live ne s’appliquent pas aux lots judiciaires, identifiés par un astérisque * en début de vente est faite au comptant et en euros. L’acheteur doit régler son bordereau immédiatement après la vente. Aucun lot ne sera délivré avant acquittement intégral des sommes paiement peut intervenir - En carte bancaire sur place ou directement sur notre site internet En espèces jusqu’à 1 000 euros pour les résidents français et 15 000 euros pour les résidents étrangers non professionnels- En chèque retrait des objets seulement après encaissement du chèque soit environ 10 jours après la remise du chèque à la banque- Par virement bancaireDEFAUT DE PAIEMENTAprès mise en demeure par e-mail ou courrier restée infructueuse auprès de l’adjudicataire, NOUVELLE ÉTUDE procédera à la résiliation de la montant forfaitaire de 100€ TTC sera automatiquement prélevé à l’adjudicataire défaillant sans préjudice de la mise en œuvre des poursuites pour une caution était exigée pour participer à la vente aux enchères, celle-ci sera définitivement et intégralement encaissée par NOUVELLE ÉTUDE. DELIVRANCEL’acquéreur, après complet paiement, peut se voir délivrer son lot. La délivrance s’entend du retrait par le client ou la personne de son choix ou sa livraison. Une fois la délivrance effectuée et le bon de remise signé, l’acquéreur est réputé accepter le lot dans l’état dans lequel il se trouve et renonce à toute réclamation ou plusieurs journées de délivrance sont indiquées dans les conditions spéciales de la vente ou à défaut au début de la vente par le commissaire-priseur. A l’issue de cette ou ces journées, les lots non retirés par les adjudicataires sont considérés comme abandonnés et ne pourront plus être réclamés par les adjudicataires. Il ne sera procédé à aucun remboursement des lots non retirés dans les délais peut mandater la personne ou l’entreprise de son choix pour organiser le retrait de son réclamation ne sera admise une fois l’adjudication prononcée. Les acquéreurs ont eu grâce aux photographies et lors des expositions l’occasion de se familiariser avec l’état des objets. Nous rappelons aux acquéreurs que les lots judiciaires sont vendus sans aucune ETUDE ne se charge d’aucune expédition ni d’aucun emballage. ** signale un lot vendu par la SAS NOUVELLE ETUDE, par l’un des membres de son personnel ou par l’un de ses lots composés en tout ou en partie d’ivoire sont conformes au règlement CE 338-97 du 9/12/1996 antérieurs au 01/06/1947. L’ensemble des formalités administratives à accomplir après la vente sont laissées à la charge et sous la responsabilité de l’ DES RESTRICTIONS D'ACCES AUX VENTES AUX ENCHERESNOTICE D’INFORMATIONNOUVELLE ETUDE est abonnée au Service TEMIS permettant la consultation et l’alimentation du Fichier des restrictions d'accès aux ventes aux enchères Fichier TEMIS » mis en œuvre par la société Commissaires-Priseurs Multimédia CPM, société anonyme à directoire, ayant son siège social sis à 75009 Paris, 37 rue de Châteaudun, immatriculée au registre du commerce et des sociétés de Paris sous le numéro 437 868 bordereau d’adjudication demeuré impayé après de NOUVELLE ETUDE ou ayant fait l’objet d’un retard de paiement est susceptible d’inscription au fichier Finalité et base légale du Fichier TEMISLe Fichier TEMIS recense les incidents de paiement des bordereaux d’adjudication retards et défauts de paiement, quel que soit le mode de participation des enchérisseurs présentiel ou à distance et peut être consulté par toutes les structures de ventes aux enchères opérant en France et abonnées au est informé qu'à défaut de régularisation de son bordereau d'adjudication dans le délai mentionné sur le bordereau, une procédure d'inscription audit fichier pourra être engagée par NOUVELLE mise en œuvre du Fichier TEMIS et son utilisation par NOUVELLE ETUDE est nécessaire aux fins de l’intérêt légitime des abonnés au Service TEMIS de prévenir les impayés et sécuriser ainsi les ventes aux Organismes autorisés à consulter le Fichier TEMIS destinatairesLe Fichier TEMIS peut être consulté par toute structure de vente abonnée professionnels et sociétés habilités à diriger des ventes de meubles aux enchères publiques conformément à la réglementation applicable et notamment aux prescriptions du Titre II " Des ventes aux enchères " du Livre III du Code de commerce ci-après les Professionnels Abonnés », souhaitant se prémunir contre les impayés et sécuriser ainsi la participation aux ventes aux enchères qu’ils organisent. La liste des abonnés au Service TEMIS est consultable sur le site menu Acheter aux enchères », rubrique Les commissaires-priseurs ».3. Conséquence d’une inscription au Fichier TEMISDans le cas où un enchérisseur est inscrit au fichier TEMIS, NOUVELLE ETUDE pourra conditionner l’accès aux ventes aux enchères qu’elle organise à l’utilisation de moyens de paiement ou garanties spécifiques ou refuser temporairement la participation des enchérisseurs aux ventes aux enchères pour lesquels ces garanties ne peuvent être mises en au fichier TEMIS pourra avoir pour conséquence de limiter la capacité d’enchérir de l’enchérisseur auprès des professionnels abonnés au service TEMIS. Elle entraîne par ailleurs la suspension temporaire de l’accès au service live » de la plateforme gérée par CPM, conformément aux conditions générales d’utilisation de cette Durée d’inscriptionLes enchérisseurs sont informés du fait que la durée de l'inscription sur le Fichier TEMIS est déterminée par le nombre de bordereaux d'adjudications restés impayés auprès des Professionnels Abonnés au Fichier TEMIS, par leurs montants cumulés et par leur régularisation ou non. La durée de l’inscription au Fichier TEMIS est réduite si l’Enchérisseur régularise l’ensemble des Incidents de paiement. Elle est augmentée lorsque l’enchérisseur est concerné par plusieurs bordereaux impayés inscrits au Fichier d’un bordereau d’adjudication en incident de paiement est supprimée automatiquement au maximum à l’issue d’une durée de 24 mois lorsque l’enchérisseur ne fait l’objet que d’une seule inscription, et de 36 mois lorsque l’enchérisseur fait l'objet de plusieurs ResponsabilitésPour l’application de la législation en matière de protection des données personnelles, CPM et NOUVELLE ETUDE ont tous deux la qualité de responsable de est responsable de la mise en œuvre du Fichier TEMIS, ce qui inclut notamment la collecte de données auprès des abonnés, la mutualisation et la diffusion des données à caractère personnel qui y sont recensées, ainsi que la sécurité du système d’information hébergeant le Fichier ETUDE, en tant qu’abonné est responsable de son utilisation du Fichier TEMIS, ce qui inclut notamment la communication des données à caractère personnel relatives aux adjudicataires à CPM en vue de l’inscription au Fichier TEMIS, la vérification de l’exactitude et la mise à jour des données, la consultation, ainsi que la réutilisation des informations du Fichier Droits des personnesLes enchérisseurs souhaitant savoir s’ils font l’objet d’une inscription au Fichier ou contester leur inscription peuvent adresser leurs demandes par écrit en justifiant de leur identité par la production d’une copie d’une pièce d’identité - Pour les inscriptions réalisées par NOUVELLE ETUDE par écrit auprès deNOUVELLE ETUDE 18 rue de la Grange Batelière, 75009 Paris- Pour les inscriptions réalisées par d’autres Professionnels Abonnés par écrit auprès de Commissaires-Priseurs Multimédia 37 rue de Châteaudun, 75009 Paris, ou par e-mail contact demande tendant à l’exercice des droits d’effacement, de limitation, d’opposition dont dispose l’Enchérisseur en application de la législation en matière de protection des données personnelles, ainsi que toute autre contestation d’une inscription doit être adressée au Professionnel à l’origine de l’inscription qui effectuera une demande de mise à jour auprès de CPM. En cas de difficultés, l’enchérisseur a la faculté de saisir CPM en apportant toute précision et tout document justificatif afin que CPM puisse instruire sa réclamation. L’enchérisseur dispose également du droit de saisir la Commission nationale de l’informatique et des libertés CNIL [3 Place de Fontenoy - TSA 80715 - 75334 PARIS CEDEX 07, d’une réclamation concernant son inscription au Fichier TEMIS. Pour en savoir plus concernant le Fichier TEMIS, l’enchérisseur est invité à consulter la politique de confidentialité de CPM accessible sur Coordonnées de l’EnchérisseurLes notifications importantes relatives aux suites de l’adjudication seront adressées à l’adresse e-mail et/ou à l’adresse postale déclarée par l’enchérisseur auprès de la structure lors de l’adjudication. L’enchérisseur doit informer NOUVELLE ETUDE de tout changement concernant ses coordonnées de contact.
Dispensedu mandant de déclarer sa créance de restitution au passif de l'agence immobilière en liquidation judiciaire . Moussa Thioye 1, 2 Détails. 1 UT1 - Université Toulouse 1 Capitole . 2 IEJUC - Institut des Études Juridiques de l'Urbanisme et de la Construction (Toulouse)

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Règlesde liquidation d’un bien en indivision financé par un emprunt bancaire. Lorsqu’un couple marié ou concubin fait l’acquisition d’un bien immobilier commun sous le régime de l’indivision, ils sont la plupart du temps titulaires individuellement de la
Acheter un bien à une société en liquidation judiciaire, attention à l’arnaque
Faireestimer mon bien. Trouvez votre bien idéal. Votre projet immobilier est unique et précieux : chez Cimm Immobilier on vous accompagne pour trouver LE bien idéal ! Trouver un bien. Une agence près de vous France. France métropolitaine. 701 biens répertoriés; 92 Agences et agents commerciaux; Ouvrez votre agence ! Rejoignez-nous. Cimm Immobilier c'est : 43 années Recherche Par Aurore Tabordet-Merigoux, Avocat. La responsabilité de l’agent immobilier accrue en matière de solvabilité du locataire présenté au mandant. Le mandant qui confie à un agent immobilier le soin de rechercher et de trouver un locataire pour son bien immobilier bénéficie des dispositions protectrices de l’article 1992 du Code civil. Cet article dispose notamment que le mandataire répond des fautes commises dans sa gestion et que celles-ci se présument en cas d’inexécution. En matière immobilière, la jurisprudence considère qu’une agence qui s’est vu confier un mandat de gestion immobilière est tenue de vérifier la solvabilité des locataires présentés au mandant. La 1ère chambre civile de la Cour de cassation avait précisé dans un arrêt du 28 mars 1984 n°82-16915 que le professionnel devait faire des recherches sérieuses sur la solvabilité du candidat. L’agent immobilier bénéficiant d’un mandat de gestion est donc responsable des conséquences liées à l’insolvabilité des locataires. Il devra notamment indemniser les propriétaires pour les loyers et charges impayés, les indemnités d’occupation éventuelles, etc. La haute juridiction a étendu sa jurisprudence protectrice au mandat simple de recherches de locataire. Ainsi dans un arrêt du 16 novembre 2016 n°15-23790, la Cour de cassation énonce expressément l’agent immobilier, négociateur d’une opération locative, est tenu, quelle que soit l’étendue de sa mission, de s’assurer de la solvabilité des candidats à la location à l’aide de vérifications sérieuses ». Cette décision est venue sanctionner un arrêt de la cour d’appel d’Angers du 20 mai 2015 qui avait fait une application restrictive de l’arrêt de 1984 en rejetant la responsabilité de l’agent immobilier dans la mesure où celui-ci ne disposait pas d’un mandat de gestion locative mais d’un mandat de recherche de locataire. La décision de la Cour de cassation est, à mon sens, à saluer puisque les mandants qui recourent à des professionnels de l’immobilier pour rechercher un locataire doivent pouvoir suivre leurs conseils et retenir les candidats sélectionnés sans avoir à effectuer des recherches ultérieures. Cette décision s’inscrit dans la continuité des mesures prises pour protéger les particuliers face aux professionnels de l’immobilier. Recommandez-vous cet article ? Donnez une note de 1 à 5 à cet article L’avez-vous apprécié ? Loyers commerciaux et fermetures administratives liées au Covid-19. Par Brahim Ouhdi, Avocat. Par 3 arrêts en date du 30 juin 2022, la Cour de Cassation a estimé que les mesures d’interdiction de recevoir du public, prise par les pouvoirs publics en France en 2020 et 2021 pour lutter contre la pandémie de Covid-19, ne sont pas un motif de dispense du paiement des loyers pour les locataires commerciaux. Cassation civile 3e, 30 juin 2022, n° 21-19889 ; Cassation civile 3e, 30 juin 2022, n° 21-20127 ; Cassation civile 3e, 30 juin 2022, n° ... 9 août 2022 lire la suite Bienvenue sur le Village de la Justice. Le 1er site de la communauté du droit, certifié 4e site Pro en France Avocats, juristes, fiscalistes, notaires, huissiers, magistrats, RH, paralegals, étudiants... y trouvent services, informations, contacts et peuvent échanger et recruter. * Aujourd'hui 149 110 membres, 23071 articles, 126 575 messages sur les forums, 4 300 annonces d'emploi et stage... et 2 000 000 visites du site par mois en moyenne. * FOCUS SUR > Suite du Legal Design Sprint 2022-2023 ! Angers, Bruxelles, Rennes, Lyon et Paris... A LIRE AUSSI > Suivez le Village sur les Réseaux sociaux... Et pourquoi pas avec une Alerte mail sur nouveaux articles ? Deuxcommerces du centre-ville de Cherbourg (Manche), une boulangerie et un fleuriste, ont été placés en liquidation judiciaire. Ils sont toujours à reprendre. On entend parfois dire de telle ou telle société qu’elle est en liquidation judiciaire. Qu’est-ce que cela veut dire ? Quelle est la différence entre liquidation et dissolution ? Quel rapport avec le redressement judiciaire ? Le droit des entreprises en difficulté est une matière complexe, du fait de la diversité des procédures collectives et de l’importance de leurs conséquences. LegaLife fait le point pour vous présenter un guide simple et clair de la liquidation judiciaire. Table des matières1 Qu’est-ce que la liquidation judiciaire ? Dissolution ou liquidation ? Liquidation amiable ou liquidation judiciaire ? Procédures collectives et liquidation judiciaire2 Comment fonctionne la liquidation judiciaire ? Les conditions d’ouverture d’une liquidation La procédure de liquidation L’ouverture de la Le jugement prononçant la Le rôle du liquidateur3 Quelles sont les conséquences de la liquidation judiciaire ? L’entreprise en Les effets de la liquidation judiciaire sur les L’entreprise liquidée4 Consulter un avocat spécialiste de la liquidation judiciaire5 Textes de référence Qu’est-ce que la liquidation judiciaire ? Pour en donner une définition simple, la liquidation judiciaire est une procédure qui vise à officialiser et à organiser la fin d’une entreprise qui rencontre des difficultés trop importantes pour se relever. Dissolution ou liquidation ? Alors que créer votre entreprise lui donne naissance, la dissolution est l’opération par laquelle votre société disparait. Autrement dit, qu’elle intervienne sur décision des associés ou qu’elle soit forcée par une faillite, ce terme désigne le fait pour le contrat de société de toucher à sa fin. Ainsi, la dissolution d’une SAS ou d’une SARL peut intervenir pour de nombreuses raisons, qui ne tiennent pas nécessairement à sa situation financière. La dissolution désigne donc le fait de cesser l’activité, que cette décision soit libre ou non. La liquidation consiste quant à elle à officialiser cette dissolution, à en organiser les modalités. Elle permet en effet de réaliser l’actif de la société, c’est-à-dire de distribuer son argent. Créanciers, salariés, associés, il faut ainsi déterminer qui recevra quelle part de l’actif social, et dans quelles conditions. C’est alors que l’on parle de “liquider les dettes” d’une société. La disparition d’une entreprise ne peut être effective tant que son patrimoine demeure. Elle reste en conséquence une personne morale jusqu’à ce que la liquidation soit terminée. Dissolution et liquidation sont donc deux étapes qui se complètent, mais ne se confondent pas. Liquidation amiable ou liquidation judiciaire ? De même que la dissolution peut relever d’un choix des associés ou être forcée par une faillite, la liquidation peut intervenir à l’amiable ou sur décision du juge. En effet, les associés qui décident de la cessation de l’activité peuvent procéder à la liquidation de leur société à l’amiable. Cela signifie qu’un liquidateur, généralement le dirigeant, va se charger de régler les dettes restantes. La liquidation amiable n’est donc possible que tant que l’entreprise a de quoi payer ses dettes. On parle à l’inverse de liquidation judiciaire lorsque le juge prend en mains la liquidation car la société n’est plus en mesure de faire face à son passif. La liquidation judiciaire est donc spécifique aux cas où l’entreprise est en difficulté. Procédures collectives et liquidation judiciaire La liquidation judiciaire intervient donc lorsqu’une entreprise est en faillite, c’est-à-dire lorsqu’elle n’est plus en mesure de payer ses dettes. En effet, le droit prévoit des procédures spécifiques aux entreprises en difficulté, que l’on appelle procédures collectives. Il s’agit en premier lieu de la sauvegarde. Elle qui vise à organiser pour l’entreprise une solution lui permettant de maintenir à la fois l’activité et l’emploi. Celle-ci intervient donc pour éviter que la société ne se trouve en état de cessation des paiements, c’est-à-dire en faillite. Si ce cap est atteint malgré tout, l’entreprise en cessation de paiement doit être mise en redressement. Il s’agit là de tenter de lui permettre de rétablir un équilibre entre ses dettes et son actif. En outre, il existe une alternative. Il s’agit de la procédure de conciliation. Confidentielle, elle vise à trouver un accord entre l’entreprise et ses créanciers afin de mettre en place un plan d’apurement du passif. En dernier lieu, lorsque le redressement est impossible, il doit être procédé à la liquidation judiciaire de l’entreprise pour que sa dissolution soit effective. La liquidation n’intervient donc qu’en dernier recours, en cas d’échec du redressement judiciaire. Reste à savoir en quoi elle consiste en pratique. Toute entreprise ne peut être liquidée. Il faut donc déterminer qui peut faire l’objet d’une liquidation judiciaire, avant de préciser en quoi elle consiste. Les conditions d’ouverture d’une liquidation judiciaire Peut faire l’objet d’une liquidation judiciaire tout personne exerçant une activité commerciale, artisanale, agricole, indépendante. Cette procédure est ainsi applicable aussi bien à la société commerciale, à l’entreprise individuelle, à la personne physique exerçant une activité libérale à titre indépendant, mais encore à l’association. Le critère déterminant n’est donc pas celui de la forme sociale. La condition majeure d’ouverture de la liquidation est en effet que l’entreprise concernée se trouve en état de cessation des paiements. En outre, son redressement doit être manifestement impossible. On parle de cessation des paiements lorsque la société ne peut plus faire face à son passif exigible avec son actif disponible. Autrement dit, l’entreprise est en faillite quand elle n’a plus à sa disposition assez d’argent pour payer ses dettes. La procédure de liquidation judiciaire Concrètement, la liquidation consiste à céder les actifs de la société débitrice afin de régler ses dettes auprès de ses créanciers. Il existe en outre une procédure de liquidation simplifiée, qui permet des démarches allégées et plus rapides. Elle s’applique lorsque l’entreprise n’a pas de biens immobiliers, selon des seuils relatifs à son chiffre d’affaire mais aussi à ses effectifs salariés. L’ouverture de la liquidation En principe, c’est le débiteur c’est-à-dire l’entreprise qui doit ouvrir la procédure. Il doit le faire au plus tard 45 jours après la cessation des paiements par une déclaration en ce sens. Néanmoins, la liquidation judiciaire peut également intervenir à l’initiative d’un créancier, ou du juge, notamment par conversion d’une procédure de sauvegarde ou de redressement. Le tribunal compétent pour ouvrir la procédure varie selon la forme sociale du débiteur. Il s’agit du Tribunal de commerce pour une activité commerciale, ou du Tribunal de grande instance TGI dans les autres cas. Quoi qu’il en soit, c’est la juridiction du ressort du siège de l’entreprise ou de son établissement principal qui est compétente pour ouvrir la liquidation judiciaire. La demande d’ouverture de la procédure doit être accompagnée d’un certain nombre de documents. Ils visent à attester des difficultés insurmontables rencontrées par l’entreprise. Il s’agit notamment des comptes annuels du dernier exercice, et de la déclaration de cessation des paiements appelée également dépôt de bilan. Reste à déterminer en quoi consiste cette procédure. Le jugement prononçant la liquidation Le juge intervient à plusieurs reprises dans la procédure de liquidation judiciaire. Il rend un premier jugement d’ouverture de la procédure, et en dernier lieu un jugement de clôture de la liquidation. Le jugement d’ouverture permet principalement de fixer la date de cessation des paiements, de désigner les organes de la procédure, et le cas échéant de permettre la poursuite de l’activité. En effet, le juge désigne un juge-commissaire qui est chargé de veiller au bon déroulement de la procédure, mais aussi un mandataire judiciaire qui devient le liquidateur de l’entreprise. Le rôle du liquidateur Le débiteur en liquidation ne peut plus administrer ses biens. C’est donc le liquidateur qui est chargé de reprendre la gestion de l’entreprise. Il a pour mission de licencier les salariés, de vérifier et de recouvrer les créances. Il procède en outre à la vente des biens de l’entreprise, voire organise un plan de cession de la société dans son ensemble. Le liquidateur remplace donc le chef d’entreprise, qui est dessaisi de ses biens du fait de la liquidation. Quelles sont les conséquences de la liquidation judiciaire ? La liquidation emporte des conséquences à la fois pour l’entreprise elle-même, et pour ses créanciers. L’entreprise en liquidation L’ouverture d’une procédure de liquidation judiciaire a plusieurs conséquences sur l’entreprise débitrice, dont principalement Le dessaisissement du débiteur. Le chef d’entreprise n’est plus habilité à gérer sa société, sauf pour les actes n’entrant pas dans les missions du liquidateur. La rupture des contrats de travail. Les salariés de l’entreprise sont licenciés dans les 15 jours suivant le jugement d’ouverture de la procédure. Si un plan de sauvegarde de l’emploi PSE est mis en place, ce délai est porté à 21 jours. En cas de poursuite provisoire de l’activité pour les besoins de la liquidation, c’est à compter de la cessation d’activité que ces délais courent. L’arrêt des poursuites individuelles. L’entreprise en liquidation ne peut plus être poursuivie en paiement. Le paiement des créanciers intervient en effet de façon collective. Ils ne peuvent donc plus demander le recouvrement de leurs créances à titre individuel. En effet, les créanciers d’une entreprise en liquidation se voient contraints d’agir dans le cadre de la procédure collective, qui interdit donc l’action individuelle. Les effets de la liquidation judiciaire sur les créanciers La liquidation a pour objectif de permettre le désintéressement des créanciers, grâce à plusieurs règles Exigibilité de l’ensemble des créances même non échues. Toutes les créances deviennent exigibles du fait de l’ouverture de la procédure, même lorsqu’elles ne sont pas encore arrivées à échéance. Arrêt des poursuites individuelles. Comme il a été vu plus haut, aucun créancier ne peut plus poursuive l’entreprise en paiement à titre individuel. Interdiction de paiement des créances antérieures au jugement d’ouverture. Les créances contractées avant l’ouverture de la liquidation doivent être vérifiées. Il est donc interdit au débiteur comme au liquidateur de les payer par lui-même. Obligation de déclaration des créances. Tout créancier doit procéder dans les 2 mois suivant le jugement d’ouverture à la déclaration de sa créance à la procédure collective. On parle en effet de procédure collective car les créanciers sont réunis en une “masse des créanciers” pour que soient examinés leurs droits. Le paiement des créances intervient alors dans un ordre bien précis déterminé par les organes de la procédure. Les créanciers sont ainsi désintéressés au moyen du prix de cession de l’entreprise ou du résultat de la réalisation de ses actifs. Sont payées en priorité les créances apparues régulièrement postérieurement au jugement. Ensuite, l’ordre des créanciers dépend de leurs privilèges. L’objectif est donc de réussir à payer les créanciers, mais il n’est pas toujours atteint. L’entreprise liquidée Le jugement d’ouverture de la procédure prévoit un délai pour sa clôture, sachant qu’il peut être prorogé. La clôture de la liquidation peut alors intervenir Pour extinction du passif. Il s’agit des cas où la réalisation de l’actif de la société permet de désintéresser efficacement les créanciers. Autrement dit, le liquidateur dispose alors de suffisamment d’argent pour payer l’intégralité des dettes de l’entreprise. La procédure peut ici être clôturée, car elle a atteint son résultat l’apurement du passif. En cas d’insuffisance d’actif. Dans cette situation, la réalisation des actifs ne suffit pas à désintéresser les créanciers. La clôture de la liquidation pour insuffisance d’actif n’est donc pas satisfaisante pour les créanciers. Pour autant, ils ne retrouvent pas leur droit d’action individuelle. En effet, ils ne peuvent poursuivre le débiteur en paiement après clôture que dans des cas exceptionnels fraude, condamnation pénale, faillite personnelle,… Finalement, l’entreprise est dissoute. Son activité s’éteint, sauf à ce qu’elle ait été reprise par le biais d’une cession. La société n’a plus d’existence juridique, elle disparaît. Pour cela, il est procédé à sa radiation du Registre du commerce et des sociétés RCS et cette décision est officialisée par une publication dans un journal d’annonces légales. Consulter un avocat spécialiste de la liquidation judiciaire Cet article vise à présenter les caractéristiques principales de la liquidation. Il n’est donc pas exhaustif. Si votre entreprise est en cessation des paiements, si vous êtes créancier d’une société en liquidation, n’hésitez pas à vous faire conseiller plus en détails. Consulter un avocat spécialisé ici vous permettra de poser vos questions et d’être rappelé dans les meilleurs délai pour une consultation téléphonique. Vous pourrez alors choisir la spécialité qui convient le mieux à votre situation dans le cadre de la liquidation “crédit et dettes”, “entreprises et sociétés”. Consulter un avocat en ligneTextes de référence Les articles 1844-7 et 1844-8 du Code civil encadrent la dissolution de la société. Pour ce qui est de la liquidation, les articles L. 237-1 et suivants puis L. 640-1 et suivants du Code de commerce y sont plus précisément consacrés. A propos de l'auteur Etudiante en droit des affaires à l'Université Paris 1 Panthéon Sorbonne, je suis notamment en charge de la rédaction et de la mise à jour de nos guides juridiques Lindivision est la situation juridique dans laquelle deux ou plusieurs personnes sont propriétaires ensemble d'une même chose. Pour rappel, une indivision peut être volontaire, lors de l'acquisition d'un bien entre concubins ou pacsés, ou involontaire, lors d'une succession, en attendant que la succession entre les divers héritiers soit liquidée (indivision successorale) ou Comment faire jouer les assurances et garanties financièresLe professionnel avec lequel vous avez souscrit un contrat n’a pas ou a mal exécuté ses engagements. Vous apprenez qu’il fait l’objet d’une procédure de redressement ou de liquidation judiciaire. Si le professionnel est couvert par une assurance responsabilité civile professionnelle ou une garantie financière, vous pourrez tenter d’obtenir le respect du contrat ou le remboursement des sommes payées. Vous avez la possibilité de demander au mandataire ou au liquidateur judiciaire de se prononcer sur la poursuite du contrat. Vous pouvez également déclarer votre créance. Mais, en pratique, il est rare d’obtenir gain de cause. Dans ce contexte, nous vous invitons à rechercher si le professionnel disposait d’une assurance pour couvrir sa responsabilité civile professionnelle ou d’une garantie financière. Elles pourraient, selon les cas, financer tout ou partie des travaux à réaliser, vous indemniser ou vous rembourser. Vérifiez sur le bon de commande, le devis ou la facture si les coordonnées de l’assureur ou de la garantie financière apparaissent. Vous pouvez aussi interroger le mandataire ou le liquidateur judiciaire sur ce point. L’assurance responsabilité civile professionnelle Lorsque la responsabilité civile du professionnel est en cause, pensez à faire jouer son assurance. C’est notamment le cas si le professionnel a mal exécuté ses obligations et que vous subissez un préjudice. Il faut vérifier si le professionnel est effectivement assuré à la date de conclusion de votre contrat. Vous pourrez alors dialoguer directement avec la compagnie d’assurance. Vous disposez, en effet, d’un recours direct contre elle. Certains professionnels ont l’obligation de souscrire une assurance couvrant leur responsabilité civile. Il s’agit par exemple des professionnels de la santé ; des constructeurs d’ouvrage les constructeurs ou, selon les travaux, les maçons, les couvreurs, par exemple ; des architectes ; des agents immobiliers ; des avocats ; des agences de voyages ; des diagnostiqueurs techniques immobiliers. Les garanties financières Le professionnel avec lequel vous avez souscrit un contrat est en faillite » et vous avez versé tout ou partie du prix ou il détient des sommes qui vous appartiennent. Dans certains cas, vous pouvez intervenir auprès de sa garantie financière afin d’obtenir un remboursement. Il existe, pour certaines professions, une obligation de souscrire une garantie financière. C’est le cas notamment des agences de voyages ; des agents immobiliers ; des diagnostiqueurs techniques immobiliers ; des architectes. Si une garantie financière a été souscrite, dialoguez directement avec elle.
Saufque l’agence immobilière qui géré la location a fermé, le dossier a été reprit je pense mais je n’ai eu aucun courrier m’avertissant de ce changement. D’une part est ce que du coup le cautionnement devient caduc étant donné que j’ai été avertie de rien et n’ai pas signé un autre cautionnement avec l’agence qui a reprit ce dossier? Merci . Christophe St Genest
La franchise est un modèle solide… mais parfois, les choses ne se passent pas vraiment comme espérées ! Et quand le réseau de franchise est en difficulté sévère, les franchisés s’en trouvent directement impactés. Quels sont les recours des franchisés face à la faillite d’un franchiseur ? Quelques éléments de réponse. Lire aussi Futur franchisé, quelles questions poser a un franchiseur ? Le franchiseur n’est pas infaillible ! Alors que l’actualité du moment rappelle douloureusement à tous que tout ne peut être pleinement anticipé, en franchise comme ailleurs, les risques de faillite d’un franchiseur sont réels. Et de fait, même quand l’économie va plutôt bien, un franchiseur n’est jamais à l’abri d’une procédure de liquidation. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’un franchiseur est une entreprise comme une autre, soumise à des aléas conjoncturels ou structurels… comme les autres ! En d’autres termes, un réseau de franchise n’est pas infaillible. Parmi les raisons pour lesquelles un franchiseur peut faire faillite, l’on trouve essentiellement le bad buzz l’histoire l’a démontré à maintes reprises, aucune entreprise n’est à l’abri d’un grain de sable dans des rouages que l’on croyait pourtant bien huilés. Intoxication alimentaire, produits défectueux, approvisionnements mal gérés, travail des enfants, discriminations, etc… la gestion d’un bad buzz est un exercice délicat qui peut avoir des répercussions dramatiques sur un réseau de franchise ; l’arrivée sur le marché d’un concurrent très trop ? agressif le succès des uns fait le malheur des autres ! L’arrivée sur le marché d’un nouvel acteur plus performant est souvent compliquée à gérer pour les réseaux bien établis. L’anticipation et la réactivité ne sont pas toujours au rendez-vous ; une évolution négative du contexte réglementaire les interdictions partielles ou totales de certains produits ou services cabine UV par exemple, ou encore les limitations d’avantages spécifiques réduction des aides d’État, etc peuvent handicaper certains réseaux dans leur activité. une croissance trop rapide un réseau qui grandit trop vite se met en danger. Ce qui est équilibré à 20 franchisés ne l’ai plus forcément à 100 ou 200 ! Une trop forte progression du nombre de franchisés peut être contre-productive. La trésorerie ne suit plus, les équipes n’arrivent plus à gérer, etc ; un mauvais choix stratégique les attentes des consommateurs évoluent. Ce qui fait un succès aujourd’hui peut ne plus plaire dans quelques années. Si le franchiseur doit innover et évoluer, il n’est pas à l’abri d’un mauvais choix stratégique. Quand pour l’une de ces raisons ou d’autres !, un franchiseur se retrouve en difficulté, les franchisés n’auront d’autres choix que d’en subir les conséquences ! En effet, techniquement si franchiseur et franchisés sont indépendants juridiquement et financièrement, dans les faits, les acteurs de la franchise sont interdépendants. Quand le franchiseur est mal en point, les franchisés perdent les avantages de la franchise et notamment la notoriété de la marque, l’accompagnement, la logistique, la centrale d’achat, etc. En clair, le concept est à l’arrêt et les franchisés sont entraînés dans la chute de leur réseau. En France, avant de fermer définitivement le rideau, une entreprise peut se trouver dans différentes situations juridiques ce qui impacte les recours possibles pour les franchisés La procédure de redressement judiciaire Quand un franchiseur se retrouve en redressement judiciaire, le tribunal estime que le réseau a encore une chance de se redresser. L’activité peut donc se poursuivre pendant une période déterminée par le tribunal. Si l’activité se poursuit, les contrats de franchise se poursuivent aussi. L’administrateur nommé par le tribunal décide ainsi du devenir des contrats. En d’autres termes, les franchisés ne peuvent se désengager de leur propre chef. Ils doivent continuer d’exécuter leurs contrats ce qui implique le versement des royalties ! Ceci est vrai si le franchiseur peut continuer à honorer ses engagements assistance au franchisé notamment. A défaut, le franchisé peut demander la résolution de son contrat pour inexécution. A l’issue de la période transitoire du redressement judiciaire, trois situations sont possibles L’adoption d’un plan de redressement l’activité se poursuit alors, aidée en cela par les délais de paiement accordés par les créanciers du franchiseur. Dans ce cas, les franchisés vont continuer à bénéficier de la pleine exécution de leurs contrats. La cession de l’entreprise le repreneur qui rachète l’entreprise du franchiseur reprend aussi les contrats de franchise en cours mais il n’y est pas obligé ! A noter quand le contrat de franchise contient une autorisation de cession du réseau, l’accord des franchisés n’est pas nécessaire. Quand le contrat de franchise ne contient pas une telle clause, le franchisé a le choix d’accepter de poursuivre ou non son contrat avec le repreneur. La transformation en liquidation judiciaire quand l’entreprise du franchiseur n’arrive pas à redresser la barre, le franchiseur fait l’objet d’une procédure de liquidation judiciaire. Cela implique une cessation de l’activité du réseau et la résiliation des contrats en cours. Les franchisés ne sont plus tenus de verser des redevances puisqu’ils ne sont plus dépositaires des droits sur le savoir-faire et les signes distinctifs de leur enseigne. Dans ce cas, il est quasi impossible de percevoir des dommages et intérêts de la part du franchiseur puisque les actifs servent alors à payer les salariés, le Trésor Public, les organismes sociaux, les banques… en priorité. Attention les clauses de non-concurrence et de non-affiliation restent valables même si le réseau n’existe plus ! Lire aussi Comment éviter l’échec en franchise ? Nos conseils !
Lesnotaires sont des intermédiaires incontournables sur lesquels les Français aiment pouvoir compter. Donation-partage, succession, transaction immobilière, un bon notaire est d'une aide précieuse pour de nombreuses décisions et opérations qui comptent. Mais attention, car tous ces officiers ministériels ne se montrent pas toujours à la hauteur de leur
Bonjour et merci d’avance pour votre soutien Je suis particulier et je m’apprête à signer pour l’achat d’un petit immeuble en liquidation judiciaire Après plusieurs offres et plusieurs mois mon offre a été presentée au juge qui a accepté et effectuer l’ordonnance fin janvier. Ordonnance et offres qui ne stipulent que le prix d’achat et les frais d’agences. Depuis je vais de surprises en surprise et concession en concession pas de remises des cautions des locataires et pas de prorata sur les loyers encaissés. J’y ai consenti malgré l’absence de ces element sur l’offre mais la vente qui doit se faire en une seule signature a été reportée. La nouvelle date est prévue demain et j’ai appris hier que le mandataire souhaite jouter le paragraphe ci-dessous à l’acte " Le notaire soussigné a justifié avoir obtenu des créanciers pour le compte de l'ACQUÉREUR la dispense de procéder à la purge des inscriptions. À ce sujet, il est indiqué que le notaire a interrogé l'ensemble des créanciers inscrits afin que ces derniers confirment leur accord sur le prix et dispensent l'ACQUÉREUR d'avoir à procéder aux formalités de purge et renoncent à leur droit de surenchère du dixième. Cet accord a été obtenu de chacun des créanciers ainsi qu'il résulte du courrier ci-annexé. Conformément à l’article alinéa 2 du code de commerce, l'ACQUÉREUR est informé qu’il peut saisir le juge de l'exécution du Tribunal judiciaire de C pour faire prononcer la radiation des inscriptions dès accomplissement des formalités de purge, qui ont déjà été réalisées ainsi qu’il est dit dans l’Exposé qui précède, et après versement du prix au compte ouvert par le liquidateur à la Caisse des dépôts et consignations. Le cas échéant, il devra joindre à sa demande un état des inscriptions, la justification de l'accomplissement des formalités de purge ou de l'obtention de l'accord des créanciers inscrits pour en dispenser, et la justification du paiement des frais préalables de vente." Je vous avoue que je suis inquiet et je ne mesure pas les impacts et il semblerait que mon notaire soit dans le même cas. Pouvez-vous svp m’aider à comprendre la portée de cet ajout ? FgQuS.
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