LaMémoire de mon père Patrick Zachmann France, 1991, 31 min / Couleur . Synopsis. Patrick Zachmann a derrière lui une œuvre photographique importante quand il aborde le cinéma. En 1991, il choisit le film pour accéder enfin à une vérité, la vérité de son histoire familiale, sur laquelle son père juif, fils de déporté, garde le silence depuis toujours. Patrick Zachmann a
Vous êtes ici m. wilson, mémoire de mon grand-père... Compagnie La Bobêche En famille Accès malentendants Théâtre M. Wilson, mémoire de mon grand-père en 81 objets Une libre adaptation de l’album de Thomas Scotto. L’Histoire... Une rue, un jour de brocante, chacun vide son grenier. La maison du vieux M. Wilson, au numéro 6, déborde... Depuis la mort de sa femme, il n’a rien touché Chagrin et propreté ne font pas bon ménage ! ». Mais M. Wilson a aussi et surtout la mémoire pleine. Trop pleine. Ce jour-là, il décide donc de vendre ses souvenirs... La mémoire est fragile, précieuse. Dans une société où les vieux sont cachés et n’ont plus la parole, à une époque où l’oubli se généralise, ce spectacle parle de cette transmission intergénérationnelle qui nous construit. Connaitre notre histoire familiale nous permet de grandir fort de notre passé... ou au contraire, de couper nos racines pour aller semer ailleurs et grandir 22 février Stage intergénérationnel bilingue français/LSF au Musée Vesunna> Plus d'infos !> Bulletin de réservation > Dossier pédagogique Bord de scène bilingue français/LSF, à l’issue de la représentation.> Pour les enfants de 3 à 7 ans, nous organisons une garderie-créative. > Séances scolaires Jeudi 20 février à 10h et 14h30 et vendredi 21 février à 10h. Retour à la page spectacles 2023
DansGrand-Père – de toi à moi vous trouverez 60 questions soigneusement sélectionnées, pour encourager votre Grand-Père à raconter sa vie, de son enfance à sa carrière professionnelle, ce qu'il a ressenti en devenant père & grand-père et encore beaucoup d'autres choses. Disponible en 4 titres: Maman, Papa, Grand-Mère et Grand-Père Couverture: reliée cartonnée Taille:
C’est pour rendre hommage à son grand-père – qui a combattu sur le saillant d’Ypres pendant la Première Guerre mondiale – que Paul Gross tenait à faire Passchendaele. L’acteur de 49 ans se souvient de l’été 1975, où son héros de jeunesse lui avait raconté son expérience sur le champ de bataille. Ç’a changé ma vie, explique-t-il. Ça m’a ouvert une porte sur un tout autre monde.» La fin justifie les moyens Paul Gross a dû patienter pendant plusieurs années avant de voir son projet de film se concrétiser. À la fin des années 1980, alors que les Russes occupaient Kaboul, il mettait les dernières touches à son scénario. Pour amasser les 21 M$ nécessaires à la réalisation du long métrage, l’auteur a multiplié les rencontres avec les milliardaires et les démarches auprès des institutions gouvernementales. D’ordinaire, le plafond pour un film canadien tourne autour de 6 à 7 M$, indique-t-il. Quand on veut plus d’argent que ça, on fait une coproduction avec un autre pays. On a étudié la possibilité de coproduire le film avec le Royaume-Uni et l’Allemagne. Mais on a vite laissé tomber, parce que le gros problème avec les coproductions, ce sont les obligations envers les différents partenaires… Elles finissent souvent par altérer l’histoire. Par exemple, si on s’était associés avec le Royaume-Uni, le personnage principal aurait fini par être un Anglais.» Je ne voulais pas faire ça», ajoute-t-il. Des soldats sur le plateau Un groupe de soldats des Forces canadiennes ont été engagés pour servir de figurants dans la scène finale du long métrage, celle qui met en scène la bataille de Passchendaele. Quand tu fais un film, c’est facile de te perdre dans ce monde de fiction, dans l’imaginaire, observe Paul Gross. La présence sur le plateau de ces soldats a donné une tout autre dimension à notre travail. Ça donnait un sens à ce qu’on faisait. Et ça nous aidait à garder les deux pieds sur terre.»
Jeconsidère que votre usurpation est une insulte à la mémoire de mon grand-père et je vous fais part très fermement de mon indignation. Quant à la prétendue citation de Croizat à
403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID 6oE3vpfizaqWy9CefhQsr2TOrsEhv-_xWpP6YLfra93JTDju9FpJzw==
Tarahou la mémoire des lieux avec mon père de Antoine Nguidjol - Collection Encres noires - Livraison gratuite à 0,01€ dès 35€ d'achat - Librairie Decitre votre prochain livre est là Apparemment, javascript est désactivé sur votre navigateur.
DétailsParfait pour personnaliser votre ordinateur portable, vos cahiers, vos fenêtres, en vinyle demi-découpé kiss-cut, facile à résistant, y compris à l' bordure blanche de 3,2 mm entoure chaque des stickers peut varier selon le type de sticker la mémoire de mon père vétérinaire de la guerre du Vietnam, cadeau pour père et grand-père 2,95 $US2,21 $US dès 4 achetées1,48 $US dès 10 achetéesLivraisonExpress 26 aoûtStandard 26 aoûtLes retours sont faciles et gratuitsL'échange ou le remboursement est garanti sur toutes vos savoir plusŒuvres similairesDécouvrez des œuvres similaires, créées par plus de 750 000 artistes pour tous les produitsTraduit par Imprimé rien que pour vousVotre commande est imprimée à la demande, puis livrée chez vous, où que vous savoir plusPaiement sécuriséCarte bancaire, PayPal, Sofort vous choisissez votre mode de savoir plusRetour gratuitL'échange ou le remboursement est garanti sur toutes vos savoir plusService dédiéUne question ? Contactez-nous ! Nous sommes joignables du lundi au vendredi, de 8 h à 19 votre questionImprimé rien que pour vousVotre commande est imprimée à la demande, puis livrée chez vous, où que vous sécuriséCarte bancaire, PayPal, Sofort vous choisissez votre mode de gratuitL'échange ou le remboursement est garanti sur toutes vos dédiéUne question ? Contactez-nous ! Nous sommes joignables du lundi au vendredi, de 8 h à 19 3! Contenu inapproprié /Violation de droits d'auteur
AlamaKandé. L'auteur propose dans cet ouvrage une partie de l'histoire de sa famille à travers la vie de son père, qui fut un soldat. Il
À découvrir ce 11 juin dans “13h15, le samedi†sur France 2  La mémoire de mon père », un document signé Vincent Nguyen, Jean-Charles Guichard et Mathieu l’heure où la question de la fin de vie et de la dépendance des personnes âgées défraie la chronique, voici l’histoire de Patricia Herrscher. Elle a décidé de quitter Paris, son métier d’architecte d’intérieur, son logement… pour s’occuper, dans un petit village du Perche, de son père atteint de la maladie d’ l’a fait sortir de la maison de retraite et ils vivent désormais sous le même toit. Après avoir bataillé pour ramener son esprit dans le monde de la logique, elle a finalement pris le parti d’entrer dans le sien, celui de la fantaisie, de la poésie… Un voyage au pays de l’amour entre une fille et son ne préparait Patricia à devenir "aidante", un travail à plein temps pour lequel il n’existe pas vraiment de formation. Et elle a appris à découvrir comment l’aider au mieux. Dans ce document du magazine “13h15, le samediâ€, elle dévoile son maladie concerne 3 millions de Français, malades et proches, et Patricia a compris qu’il est inutile et douloureux de lutter contre. L’accepter et vivre avec, jouer avec même, permet paradoxalement d’en retarder les effets. Elle partage son expérience car elle veut "aider les aidants", souvent démunis dans une telle document a reçu le Grand Prix du Festival international du grand reportage d’actualité et du documentaire de société 2022 FIGRA - Sélection officielle des moins de 40 minutes -
Aulendemain du 18 juin, en ce jour de la fête des pères, je ne peux m’empêcher de penser à mes autres pères qui sont passés de vie à trépas : Tonton Sadek, Tonton Daoud et, plus récemment encore,
Accueil Hauts-de-France Cambrai Le Busignois James Diéval a entrepris de collecter des témoignages autour d’événements survenus en août 1944. Ceci pour laver l’honneur de son grand-père, résistant accusé d’avoir causé la déportation de dix personnes après avoir abattu un soldat allemand. Article réservé aux abonnés Article réservé aux abonnés Pour lire la suite de cet article Abonnez-vous à partir de 1€ à notre offre numérique. Sans engagement de durée. ESSAYER POUR 1€ Vous êtes déjà abonné ou inscrit ? Se connecter L'info en continu 12h36 Livres Video Rentrée littéraire poids lourds, premiers romans, auteurs régionaux, notre sélection 12h34 Arrageois - Ternois Arrêté alors qu’il roulait à 175 km/h au lieu de 90 ! 12h26 France Gendarmes blessés en intervention un suspect britannique, vu sur Netflix, en fuite 12h19 TV - Streaming Beverly Hills» Joe E. Tata est mort, les émouvantes réactions des autres acteurs 11h15 Dunkerque Dunkerque un enfant sauvé de la noyade Toute l'info en continu >
Jevoudrais aussi saluer la mémoire de mon grand-père maternel, en tant que petit-fils élevé chez lui comme un fils de substitution, ma mère ayant été rappelée à Dieu lors de ma naissance
11h43 , le 17 mars 2020 , modifié à 11h43 , le 17 mars 2020 L'enfance remonte. Elle a emménagé dans un nouveau quartier et elle regrette déjà l'ancien. Elle aimait la place des Vosges. On la retrouve dans un hôtel parisien. La pièce s'anime en sa présence. Anne Sinclair plaisante sur son image, sa tenue, son âge. On avait déjà été frappé par sa gaieté communicative, la première fois qu'on l'avait rencontrée en 2017. Son regard et sa voix trahissent parfois le ressac des épreuves. Son regard bleu peut se glacer, son timbre de voix peut se fêler. Elle est vêtue d'un pull marine et d'un pantalon sombre. Une tenue simple. Le temps passe, l'enfance remonte. Elle s'était attachée au versant maternel de sa famille, dans 21, rue La Boétie, à travers la figure de son grand-père Paul Rosenberg, célèbre marchand d'art. Elle s'attache au versant paternel de sa famille, dans La Rafle des notables, à travers la figure de son grand-père Léonce Schwartz, commerçant interné au camp de Compiègne. Rendre hommage, connaître la vérité. Anne Sinclair est faite de ces deux histoires familiales-là."Pourquoi n'ai-je pas posé davantage de questions sur mon grand-père?"La journaliste regrette l'incuriosité de sa jeunesse. Elle posait des questions aux autres, mais pas aux siens. Les proches meurent en emportant avec eux tout ce qu'on ne leur a pas dit et tout ce qu'ils ne nous ont pas dit. "Pourquoi n'ai-je pas posé davantage de questions sur mon grand-père? Ma grand-mère est morte lorsque j'avais 16 ans. Elle ne voulait pas parler de la guerre. La vie prenait alors le pas sur la parole." Aujourd'hui, l'enfance remonte, les racines remontent. L'histoire familiale faut-il s'affranchir ou s'amarrer? Anne Sinclair a découvert l'horreur des camps de la mort à la lecture de Treblinka de Jean-François Steiner. Elle avait 15 ans. Elle a visité Auschwitz sous la neige et le soleil. Tout était d'une beauté irréelle. Seuls les textes des grands témoins, dont Primo Levi et Imre Kertész, lui ont fait approcher la réalité de la famine, la gangrène, la vermineNous sommes en décembre 1941. Les Allemands arrêtent 743 Juifs français, appartenant à une population privilégiée faite de patrons, d'avocats, de magistrats, d'écrivains. Ils y adjoignent 300 Juifs étrangers déjà prisonniers à Drancy. Ils sont internés au camp de concentration nazi de Compiègne-Royallieu, sous administration allemande, dans des conditions inhumaines. La famine, la gangrène, la vermine. Le but est l'extermination. Le premier convoi de déportés de France vers Auschwitz partira en mars 1942 du camp de Compiègne. Le grand-père paternel d'Anne Sinclair, Léonce Schwartz, a été arrêté lors de la "rafle des notables" et interné au camp de Compiègne. Il a été transféré à l'hôpital du Val-de-Grâce extrêmement affaibli. Son épouse a réussi à le faire sortir de l'hôpital. Ils se cacheront jusqu'à la Libération. Léonce Schwartz mourra dans son lit des suites de son internement à Compiègne. Anne Sinclair souhaitait raconter la vie de son grand-père paternel mais elle restitue, à travers lui, les morts et les vivants du camp de Compiègne. Elle part d'un homme pour aller vers les hommes."A l'intérieur du camp, la vie intellectuelle les a sauvés de la folie"L'épisode de la rafle des notables et l'existence du camp de Compiègne sont méconnus du grand public. Ils ont été occultés par la rafle du Vél' d'Hiv' de juillet 1942 et le camp d'Auschwitz. "On ne mobilise pas l'attention et l'émotion des gens sur mille et une choses. La rafle du Vél' d'Hiv' et Auschwitz sont devenus des emblèmes." Anne Sinclair relate les différences entre les Juifs privilégiés se sentant français et les Juifs étrangers habitués aux persécutions ; les conditions de faim, de froid, de saleté ; la vie intellectuelle. "A l'intérieur du camp, la vie intellectuelle les a sauvés de la folie. Ils donnaient des conférences, récitaient des poèmes. Quand l'avocat Pierre Masse crée une sorte de cour pour régler les conflits, il tente de retrouver le droit là où il n'y a plus de droit." Nombreux portraits d'hommes au caractère inouï. Serge Klarsfeld écrit à propos de l'avocat François Montel "Ce qu'il avait en lui était plus fort que ce qui s'est abattu sur lui." Les noms des internés du camp de Compiègne sont aujourd'hui gravés dans le verre à l'entrée du mémorial. La petite-fille voulait que le nom de son grand-père y figure. C'est la vérité et rendre hommageIls sont bien les deux fils rouges de sa vie de journaliste connaître la vérité et rendre hommage. Anne Sinclair évoque les figures remarquables du camp de Compiègne, comme le dentiste Benjamin Schatzman, pour leur redonner un souffle de vie. "Dans les épreuves les plus dures, quelque chose se révèle en nous et nous dit 'on tiendra'. Alors, on tient, mais jusqu'à un certain point. Dans le camp de Compiègne, ils avaient l'obsession de rester propres, ils savaient que s'ils se laissaient aller, ils étaient fichus. Leur morale était de tenir, de se maintenir." Anne Sinclair a écrit un récit sobre, documenté, essentiel. La journaliste se perçoit comme une laborieuse, une travailleuse."Je n'ai pas une haute opinion de moi""J'ai suivi une analyse qui n'a pas réussi à améliorer l'image que j'ai de moi-même. Je n'ai pas une haute opinion de moi. Je n'aime pas la puissance et je n'ai jamais éprouvé de sentiment de puissance. J'ai toujours beaucoup travaillé pour compenser des qualités intellectuelles dont je me trouve dépourvue. Je suis obsessionnelle. J'ai arrêté ma chronique au Journal du Dimanche pour me consacrer à l'écriture de livres. J'ai du mal à faire plusieurs choses en même temps." Le courage est une vertu familiale. "Je n'ai connu aucune grande épreuve. La devise paternelle est 'on serre les dents'. On tient le coup pendant l'épreuve et après on voit."Pense-t-on toujours à Dominique Strauss-Kahn et à la retentissante affaire du Sofitel de New York de 2011 en la rencontrant? On y pense toujours. Les accusations sexuelles contre l'ancien directeur du FMI ont mis fin à leur couple. Anne Sinclair n'a pas changé d'avis sur le scandale du Sofitel. Elle écrira peut-être autour de l'affaire, mais pas sur l'affaire elle-même. "Chacun fait selon son tempérament. Je déteste l'étalage. La dignité m'empêche de raconter ce qui ne concerne que moi. La retenue, la pudeur, le secret sont nécessaires à la vie quotidienne. Peut-être écrirai-je un jour sur les alentours médiatiques mais, sur l'affaire elle-même, on n'aura rien venant de ma part. Rien." Quand on l'avait rencontrée en 2017, pour Chronique d'une France blessée, elle nous avait déjà dit "Je ne suis pas Valérie Trierweiler. Je refuse de m'épancher." L'auteure de Merci pour ce moment, où elle racontait sa relation de neuf années avec François Hollande, lui avait alors envoyé un message courroucé à la suite de ses propos. Le portable d'Anne Sinclair s'était manifesté ainsi un dimanche matin tôt "Comment osez-vous?" Anne Sinclair ose. Elle regrette, elle ne regrette pas, mais elle fascination pour les artistes, pas pour les politiquesD'une France blessée à une France déroutée. Anne Sinclair ferait aujourd'hui une chronique d'une France inquiète et confuse. Elle observe les frontières s'estomper entre le bien et le mal dans la société. Elle a une fascination pour les artistes la soprano sud-africaine Pretty Yende et les intellectuels le romancier et essayiste Milan Kundera mais pas pour les politiques. "J'ai passé treize ans à observer les politiques pour l'émission 7 sur 7. La politique est une vision du monde et il faut déployer du temps pour expliquer une vision du monde. Le niveau de langage et de conceptualisation était plus fort à l'époque que de nos jours. Un Charles Pasqua faisait preuve de finesse et de talent. Le langage des politiques est aujourd'hui pauvre et sec. Dans l'acte de gouverner, il faut emmener les gens, montrer un chemin. Une société tient ensemble quand quelque chose de commun nous porte. Nous sommes aujourd'hui dans la défense, l'attaque, la violence.""Je n'apprécie pas de voir Macron instrumentaliser un certain nombre de thèmes dont je sais qu'ils favorisent la montée de l'extrême droite"La période de l'Occupation et la Shoah viennent de plus en plus hanter ses jours et ses nuits. La Rafle des notables a été écrit dans un contexte précis. Elle voit ce qui est l'antisémitisme, l'extrémisme, le populisme se développant en Europe. "La montée de la haine dans le monde, avec les boucs émissaires musulmans et juifs, se banalise à grands pas." L'état de la France ne lui inspire pas confiance pour l'avenir. Elle craint la simplification des idées. Le manichéisme signifie la mort du débat. "Les violences policières existent à l'évidence, mais nous ne sommes pas dans un régime autoritaire. Nous sommes en démocratie. Emmanuel Macron s'est fait élire au centre avec une majorité de voix de gauche et a ensuite fait une politique qui a séduit une majorité de gens de droite. Je n'apprécie pas de le voir instrumentaliser un certain nombre de thèmes dont je sais qu'ils favorisent la montée de l'extrême droite. Il faut parler de l'immigration et du séparatisme posément. Je ne crois pas que les Français puissent élire Marine Le Pen, mais un accident peut survenir. Les jeunes peuvent décider de ne pas se déplacer dans le cas d'un duel Emmanuel Macron-Marine Le Pen en 2022. On s'est peut-être fait avoir, mais rien n'est terminé. La France dirigée par Marine Le Pen serait l'écroulement d'un monde."La journaliste note le "refus du système" et la "haine des sachants". Elle a pensé se retirer des réseaux sociaux. "J'ai parfois reçu des vagues de haine d'une immense violence. Je me penche de moins en moins sur les commentaires." Les chasses à l'homme l'écœurent. Anne Sinclair a toujours été sensible aux parcours denses. Elle admire les vies engagées de Pierre Mendès France, Michel Rocard, Jean Daniel. On lui demande de quel homme politique français elle serait susceptible aujourd'hui de faire un long portrait. Dans un premier temps, elle répond "Aucun." Seule la trajectoire d'un Jean-Luc Mélenchon pourrait lui donner envie de se plier à l'exercice du portrait politique. "J'aimerais tenter de le comprendre. Il est un homme cultivé et intelligent devenu un tribun éruptif et véhément. Qu'est-ce qui s'est passé? Un filon, une évolution caractérielle, une caricature, un opportunisme." Nous restons ainsi, un long moment, à regarder des hommes devenir ce qu'ils ne sont rafle des notables, Anne Sinclair, Grasset, 130 pages, 13 euros.
Achetezle design « À la mémoire de mon père vétérinaire de la guerre du Vietnam, cadeau pour père et grand-père » par soufianABH sur le produit suivant : Tentures Vendez vos œuvres Connectez-vous Inscrivez-vous
Jeudi, le général Franco a été exhumé de son tombeau de la Valle de los Caídos sur décision du gouvernement socialiste espagnol. Louis de Bourbon, aîné des Capétiens et de la maison de Bourbon, mais aussi arrière-petit-fils du Caudillo par sa mère, Carmen Martínez-Bordiú y Franco, portait le cercueil de son arrière-grand-père. Il déclare à Boulevard Voltaire. Monseigneur, comment jugez-vous l’initiative politique du gouvernement espagnol concernant l’exhumation du général Franco ? Inqualifiable. Comment s’exprimer autrement quand un gouvernement s’attaque à un mort ? Le respect des morts est le de toutes les civilisations depuis toujours et nous aimerions pour longtemps encore. C’est sans doute une manœuvre électoraliste, mais celles de ce type portent rarement les effets escomptés. Les Espagnols savent ce qu’ils doivent au généralissime qui a permis le retour à la paix civile et l’essor économique du pays. Qu’avez-vous ressenti en portant le cercueil de votre arrière-grand-père ? Un intense moment d’émotion. Pour moi qui ne l’ai pas connu, j’avais l’impression d’être très proche de lui, ce que je n’avais jamais pu être jusqu’alors de cette façon. Tous ceux qui m’accompagnaient, toutes les générations confondues, étaient sans doute dans le même esprit. L’opinion s’est largement étonnée du silence apparent de la famille royale régnante. Quel est votre sentiment ? Je ne ferai aucun commentaire. La monarchie a été réinstituée par le général Franco. C’est cela que l’Histoire retiendra. Dans certains milieux français, on considère que votre engagement en faveur du Caudillo vous éloigne du trône de France. Que répondriez-vous ? Cette approche est celle de ceux qui ne me connaissent pas. La Providence m’a placé à la convergence d’une double ascendance ma lignée paternelle, qui me lie profondément à la France, le pays de mes ancêtres, où j’ai des devoirs dynastiques, celui de défendre l’héritage de la royauté légitime, et me tenir à la disposition de la France. Les devoirs de l’aîné des Bourbons ne peuvent être abdiqués. En même temps, je me dois d’assumer les devoirs de ma lignée maternelle. Ce devoir n’est pas de même nature que celui qui me lie à la France. Mais je me dois d’être fidèle à la mémoire si injustement attaquée de mon arrière-grand-père. Il fut un grand soldat et un grand homme d’État, animé avant tout par sa foi chrétienne profonde et son amour de l’Espagne. Il est à l’origine de l’Espagne pacifiée, prospère et reconnue parmi les grandes puissances mondiales. Défendre sa mémoire, c’est une part intégrante de l’idée que je me fais de l’honneur et de la fidélité.
Mémoirede mon grand-père en 81 objets. Spectacle bilingue français/LSF. D’après une libre adaptation de Thomas Scotto. Durée : 55 minutes. Tout public à partir de 7 ans . Jauge : 200 personnes. Une rue, un jour de brocante. Chacun vide son grenier. La maison du vieux M. Wilson, au numéro 6, déborde Depuis la mort de sa femme, il n’a rien touché : « Chagrin et
La Mémoire de mon pèrePatrick ZachmannFrance, 1991, 31 min / Couleur Synopsis Patrick Zachmann a derrière lui une œuvre photographique importante quand il aborde le 1991, il choisit le film pour accéder enfin à une vérité, la vérité de son histoire familiale, sur laquelle son père juif, fils de déporté, garde le silence depuis toujours. Patrick Zachmann a derrière lui une œuvre photographique importante quand il aborde le cinéma. En 1991, il choisit le film pour accéder enfin à une vérité, la vérité de son histoire familiale, sur laquelle son père juif, fils de déporté, garde le silence depuis toujours. Il a besoin du temps de la caméra, de sa mémoire, pour réussir cet ultime dialogue et entendre une parole toujours différée. Outre la justesse et la beauté des cadres - qui n’étonneront pas - nous sommes touchés par le respect et la pudeur avec lesquels le cinéaste obtient de son père une transmission dont il a un besoin vital. Difficile transmission pour ce juif intégré qui a fait de l’oubli un devoir, souvenirs douloureux, longtemps refoulés, dont il fait cadeau à son fils avant de mourir. À propos du film "Un jour, je décidai non plus d’essayer de photographier mon père, mais de le filmer. Dans une relation presque professionnelle qui allait nous permettre de se parler enfin l’un à l’autre mais sans se l’avouer ouvertement. … Un an après la mort de mon père, j’ai repris ces heures de tournage et décidé d’en faire un film. Un film sur la relation nouée entre un fils et son père, un film sur la mémoire, un film sur la transmission, celle que les pères doivent à leurs enfants, celle que je dois maintenant à mon fils puisqu’à mon tour, je suis devenu père." Patrick Zachmann Article de Anne Brunswick sur Patrick Zachmann paru dans Images documentaires, n°17 Générique Titre La Mémoire de mon père Réalisation Patrick Zachmann Montage Françoise Tourmen Production TV10 ANGERSGÉDÉON Distribution Documentaire sur grand écran
hJyoR. 0qgsxfu57i.pages.dev/9770qgsxfu57i.pages.dev/1830qgsxfu57i.pages.dev/300qgsxfu57i.pages.dev/5660qgsxfu57i.pages.dev/4890qgsxfu57i.pages.dev/5170qgsxfu57i.pages.dev/9820qgsxfu57i.pages.dev/8560qgsxfu57i.pages.dev/7350qgsxfu57i.pages.dev/9450qgsxfu57i.pages.dev/4990qgsxfu57i.pages.dev/4250qgsxfu57i.pages.dev/4920qgsxfu57i.pages.dev/1030qgsxfu57i.pages.dev/868
à la mémoire de mon grand père